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Ostéoporose : quelles solutions naturelles ? Alimentation, stress, compléments alimentaires.

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L’ostéoporose est une maladie silencieuse qui fragilise les os, les rendant plus poreux et plus vulnérables aux fractures, en particulier chez les seniors. Elle touche de nombreuses familles, souvent sans symptômes visibles, jusqu’à ce qu’une chute ou une douleur vienne tout bouleverser. Pourtant, il existe des moyens naturels pour renforcer son capital osseux à tout âge.

Dans cet article, nous vous proposons de découvrir des solutions simples, accessibles et efficaces pour combattre l’ostéoporose, grâce à l’alimentation, à l’hygiène de vie, à l’activité physique… et à quelques remèdes naturels qui ont fait leur preuve.

I. Un os fragile mais pas une fatalité

1. Ostéoporose : une maladie osseuse silencieuse mais fréquente

Ostéoporose : une femme assise, on voit son squelette à travers son corps.

L’ostéoporose est une maladie chronique et silencieuse qui se caractérise par une diminution progressive de la densité osseuse. En clair, les os deviennent plus poreux, plus fragiles… et donc plus susceptibles de se casser, parfois à la suite d’un simple faux mouvement [1]. Cette affection touche majoritairement les femmes après la ménopause, mais aussi de nombreux seniors, hommes compris, ainsi que les personnes carencées en calcium, vitamine D ou magnésium.

2. Quels enjeux ? Pourquoi miser sur le naturel ?

Les enjeux sont importants : fractures du poignet, de la hanche ou des vertèbres peuvent engendrer des douleurs, une perte d’autonomie, voire un véritable bouleversement du quotidien familial. Et même si des traitements existent (biphosphonates, hormonothérapie, etc.), ils ne sont pas toujours bien tolérés sur le long terme, avec des effets secondaires parfois gênants.

💡 Bonne nouvelle : en complément ou en prévention, il existe des solutions naturelles pour prendre soin de ses os, ralentir la perte de densité et renforcer le squelette. Alimentation, exercice, compléments ciblés : autant d’approches douces et accessibles à intégrer dans sa routine, à tout âge.

II. Comprendre l’ostéoporose pour mieux la prévenir

1. Ostéoporose : que se passe-t-il dans l’organisme ?

L’ostéoporose résulte d’un déséquilibre progressif entre deux types de cellules osseuses : les ostéoblastes, qui construisent la masse osseuse, et les ostéoclastes, qui la détruisent. Avec l’âge ou certains facteurs aggravants, les ostéoclastes deviennent plus actifs que les ostéoblastes, entraînant une déminéralisation osseuse [3].

Conséquence : l’os devient moins dense, plus poreux, et donc plus fragile, comme une éponge sèche. Cette perte de solidité ne provoque souvent aucun symptôme dans un premier temps, ce qui rend l’ostéoporose difficile à détecter sans examen spécifique.

2. Quels sont les facteurs de risque de l’ostéoporose ?

Plusieurs facteurs peuvent accélérer ou favoriser l’apparition de l’ostéoporose. Parmi les plus courants [4] :

  • Des carences en calcium, vitamine D ou magnésium ;
  • La ménopause, à cause de la chute des œstrogènes, protecteurs des os ;
  • Le tabac, l’alcool, une alimentation déséquilibrée ou une vie trop sédentaire ;
  • Certains traitements médicamenteux comme les corticoïdes à long terme ;
  • Et bien sûr, le facteur génétique et l’âge : plus on avance en âge, plus le risque augmente, notamment chez les femmes après 50 ans.

3. Comment savoir si on souffre d’ostéoporose ?

Le diagnostic repose principalement sur un examen appelé densitométrie osseuse (ou DEXA), qui mesure la densité minérale des os. Il est souvent prescrit après 50 ans en cas de facteurs de risque [5].

Parfois, c’est une fracture spontanée (chute bénigne, tassement vertébral) qui révèle la maladie. D’où l’importance du dépistage, surtout dans les familles où l’ostéoporose est présente.

III. Les 6 meilleurs remèdes naturels contre l’ostéoporose

Les compléments alimentaires ne remplacent jamais une bonne hygiène de vie, une alimentation équilibrée ni une activité physique régulière. Mais en cas de carences ou de fragilité osseuse, ils peuvent jouer un rôle précieux pour soutenir la reminéralisation ou ralentir la perte osseuse. Voici 6 solutions naturelles sélectionnées pour leur efficacité et leur compatibilité avec une approche douce et préventive de l’ostéoporose.

1. Le rôle essentiel du calcium dans la lutte contre l’ostéoporose 

Ostéoporose : des aliments riches en calcium posés sur une table (lait, fromages, légumes, etc.)

Le calcium joue un rôle fondamental dans la solidité des os. C’est le principal minéral qui compose la matrice osseuse, assurant leur rigidité et leur résistance face aux fractures. Dans le cadre de l’ostéoporose, un apport suffisant en calcium est essentiel pour ralentir la déminéralisation osseuse [6].

Son mécanisme d’action repose sur sa capacité à se déposer dans la structure osseuse, où il contribue à renforcer la densité osseuse. Le calcium agit en synergie avec la vitamine D, qui facilite son absorption intestinale et optimise son incorporation dans les os. Sans un apport adéquat, l’organisme puise dans les réserves osseuses, ce qui fragilise le squelette [7].

Ainsi, maintenir un bon taux de calcium aide à préserver la solidité osseuse et à réduire le risque de fractures, faisant de ce minéral un allié naturel clé dans la prévention et l’accompagnement de l’ostéoporose.

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2. Vitamine D3 + K2 : le duo essentiel pour des os solides

La vitamine D3 est indispensable à l’absorption intestinale du calcium. Sans elle, le calcium reste en partie inutilisé. Mais pour que ce calcium soit correctement transporté et intégré dans la matrice osseuse (et non dans les artères), il faut aussi de la vitamine K2 [8].

Cette synergie est aujourd’hui bien documentée, notamment chez les personnes âgées ou ménopausées.

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3. Magnésium bisglycinate : un minéral apaisant et reminéralisant

Le magnésium intervient dans plus de 300 réactions enzymatiques, dont celles liées au métabolisme osseux. Il régule aussi le taux de calcium et soutient la densité minérale osseuse [9].

La forme bisglycinate est idéale : bien tolérée par les intestins, hautement assimilable, sans effet laxatif.

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4. Collagène marin hydrolysé : renforcer la trame osseuse

Le collagène de type I est la forme la plus abondante de collagène dans le corps humain, et il constitue une composante structurelle majeure de la trame osseuse. Contrairement à ce que l’on croit souvent, un os n’est pas fait uniquement de minéraux comme le calcium ou le phosphore : il possède aussi une matrice organique, riche en protéines, dont le collagène assure la cohésion, la souplesse et la résistance mécanique [10].

Avec l’âge, la production naturelle de collagène diminue progressivement, ce qui peut fragiliser les os, mais aussi les articulations, les tendons et les ligaments [11]. C’est là que la supplémentation en collagène hydrolysé peut jouer un rôle intéressant. Sous cette forme, le collagène est pré-digéré en petits peptides, ce qui le rend hautement assimilable par l’organisme. Ces peptides sont capables de stimuler les cellules osseuses (les ostéoblastes) et de soutenir la synthèse de collagène endogène, contribuant ainsi à maintenir la solidité et la flexibilité des tissus osseux et conjonctifs [12, 13].

De nombreuses études suggèrent que les cures de collagène marin hydrolysé, prises sur plusieurs mois, peuvent être bénéfiques pour ralentir la perte osseuse, améliorer la densité minérale osseuse et renforcer l’ensemble du système musculo-squelettique, notamment chez les personnes atteintes d’ostéopénie ou d’ostéoporose débutante [14, 15].

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5. Silicium organique : le booster des ostéoblastes

Le silicium est un oligo-élément naturellement présent dans le corps, essentiel à la formation et à la solidité des os. Il stimule l’activité des ostéoblastes (les cellules qui fabriquent l’os) et favorise la fixation du calcium [16].

Il joue également un rôle dans la synthèse du collagène, indispensable à la structure osseuse, et contribue à renforcer l’élasticité et la solidité du tissu conjonctif [17].

On trouve du silicium dans certains aliments végétaux comme les céréales complètes (avoine, riz), les légumes verts (épinards, haricots) ou encore les fruits comme la banane. Certaines eaux minérales, comme la Volvic ou l’Hépar, en contiennent également sous forme de silice naturelle.

💡 Bon à savoir : la façon la plus rapide de refaire ses stocks en ce minéral reste via la consommation d’extraits de plantes riches en silice comme l’ortie, la prêle des champs, le bambou ou sous forme liquide organique, à raison de cures régulières de 3 mois.

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6. Lithothamne : reminéraliser naturellement

Le lithothamne est une petite algue calcaire riche en calcium, magnésium et oligoéléments. Il a également un effet alcalinisant, utile pour lutter contre l’acidité métabolique, qui favorise la déminéralisation osseuse [18].

Précautions : elle est contre-indiquée en cas d’affection rénale, d’allergie à l’iode, et sa consommation doit être surveillée en cas de problèmes de thyroïde.

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IV. Hygiène de vie et alimentation : la base pour des os solides

1.  Activité physique et ostéoporose : bouger pour renforcer ses os

L’exercice physique est un pilier fondamental dans la prévention de l’ostéoporose. Il stimule naturellement la formation osseuse en exerçant une pression bénéfique sur le squelette. Les activités où il faut porter le poids de son corps (dites « weight-bearing activities » en anglais) comme la marche, l’aérobic, la danse, la randonnée, ou même monter les escaliers sont particulièrement efficaces. Elles obligent les os à se renforcer pour soutenir le poids du corps [19].

À cela s’ajoute le renforcement musculaire modéré (yoga, Pilates, exercices avec élastiques), qui améliore l’équilibre, limite le risque de chutes et stimule les ostéoblastes [20].

💡L’idéal ? Bouger tous les jours, même 30 minutes.

2. Alimentation anti-ostéoporose : les bons nutriments au menu et ceux à éviter

Schéma avec différents minéraux bons contre l'ostéoporose et les aliments qui leur correspondent.

Ostéoporose, les aliments à favoriser

Les os ont besoin de nutriments variés pour rester solides. 

Le calcium est bien sûr essentiel, mais pas seul ! On le trouve dans les légumes à feuilles vertes (chou kale, brocoli), les amandes, les sardines avec arêtes, les fromages, le tofu ou les eaux minérales riches en calcium [21].

Le magnésium (présent dans les oléagineux, les légumineuses, le chocolat noir), le zinc, le silicium (dans l’ortie ou les céréales complètes) et les protéines sont aussi indispensables pour maintenir une bonne densité osseuse [22-25].

Les aliments à éviter

À l’inverse, certains aliments peuvent accélérer la perte minérale des os et fragiliser le squelette s’ils sont consommés en excès. C’est le cas du café, dont la caféine augmente l’excrétion urinaire du calcium, surtout si l’apport en calcium est déjà insuffisant. Le sel raffiné, lui, favorise également les pertes calciques par les urines, un phénomène accentué chez les personnes âgées. Quant aux sodas, en particulier ceux contenant de l’acide phosphorique (comme les colas), ils déséquilibrent le rapport calcium/phosphore de l’organisme, ce qui nuit à la bonne minéralisation osseuse.

Sans prôner une interdiction stricte, il est donc recommandé de limiter ces aliments dans le cadre d’une alimentation pensée pour préserver le capital osseux, notamment chez les seniors ou en cas de risque d’ostéoporose.

💡Bon à savoir ? Et l’alcool dans tout ça ? L’alcool, lui aussi, peut avoir un effet délétère sur la santé osseuse, surtout en cas de consommation régulière. Il perturbe le fonctionnement des ostéoblastes (les cellules qui fabriquent l’os) et favorise l’activité des ostéoclastes (les cellules qui le détruisent), contribuant ainsi à une déminéralisation progressive. De plus, l’alcool interfère avec l’absorption intestinale de nutriments essentiels comme le calcium, le magnésium ou la vitamine D, qui sont indispensables à la formation et au maintien d’os solides [26].

3. Vitamine D : l’alliée indispensable contre l’ostéoporose

Sans vitamine D, le calcium est mal absorbé… et donc mal utilisé par l’organisme. 

☀️ L’exposition au soleil est censée être théoriquement la meilleure source… En règle générale, une exposition au soleil de 10 à 30 minutes, effectuée deux à trois fois par semaine, est généralement suffisante pour couvrir nos besoins en vitamine D. Toutefois, cette durée peut varier considérablement en fonction de plusieurs éléments : la saison, le moment de la journée, l’âge de la personne, ainsi que son phototype (c’est-à-dire la couleur de sa peau) [27].

Par exemple, une peau claire est capable de produire de la vitamine D beaucoup plus rapidement qu’une peau foncée. Il est estimé qu’une personne à la peau noire pourrait nécessiter une durée d’exposition jusqu’à 10 fois plus longue pour atteindre le même niveau de synthèse.

Un homme qui bronze en face de la mer. Il a un soleil dessiné en crème solaire sur l'épaule.

À cela s’ajoute le facteur de l’âge : la capacité de l’organisme à produire de la vitamine D diminue avec les années. Ainsi, certaines estimations avancent qu’il faudrait s’exposer entre 5 minutes et 5 heures par jour pour atteindre les apports nécessaires, selon les conditions individuelles. Un tel éventail de durée rend cette méthode de synthèse peu fiable et parfois même risquée pour la santé, notamment en raison des dangers liés à une surexposition solaire [27].

Côté alimentation, on en trouve dans le jaune d’œuf, les poissons gras (saumon, maquereau, sardine), le foie ou les margarines enrichies. Pour découvrir la liste complète des aliments riches en vitamine D, consultez notre article : Vitamine D : bienfaits, carence et sources naturelles.

💡 Bon à savoir : en hiver ou en cas de carence avérée, une supplémentation doit être envisagée, notamment chez les seniors.

4. Stress et ostéoporose : un lien souvent méconnu mais réel

Le stress chronique est souvent sous-estimé dans les causes de l’ostéoporose, pourtant son impact sur la santé osseuse est bien réel. Lorsqu’il devient persistant, le stress entraîne une élévation du cortisol, l’hormone du stress. Or, un excès de cortisol dans le sang peut freiner l’activité des ostéoblastes (les cellules qui fabriquent l’os) et accélérer celle des ostéoclastes (les cellules qui détruisent l’os), contribuant ainsi à la déminéralisation osseuse [28]. 

De plus, le stress peut aussi perturber le sommeil, l’alimentation, et favoriser la sédentarité, autant de facteurs qui aggravent la perte de densité osseuse. Apprendre à mieux gérer son stress, par des techniques comme la respiration profonde, la méditation, le yoga ou des activités de pleine conscience, peut donc jouer un rôle important dans la prévention de l’ostéoporose, en complément d’une bonne hygiène de vie.

V. Attention aux effets secondaires et interactions

Même si les solutions naturelles contre l’ostéoporose sont généralement bien tolérées, certaines précautions s’imposent. Par exemple, un apport excessif en calcium – notamment sous forme de compléments – pourrait augmenter le risque de calcifications artérielles et de troubles cardiovasculaires, surtout s’il n’est pas accompagné de vitamine K2.

Par ailleurs, certaines interactions peuvent survenir avec les traitements médicamenteux classiques de l’ostéoporose, comme les biphosphonates. C’est pourquoi il est essentiel de demander l’avis de son médecin ou d’un professionnel de santé avant de commencer une cure, surtout si vous suivez déjà un traitement ou si vous êtes concerné par d’autres pathologies chroniques. La prudence reste toujours la meilleure alliée de la santé.

Conclusion 

L’ostéoporose n’est pas une fatalité. En adoptant une hygiène de vie adaptée, en bougeant régulièrement, en profitant du soleil et en choisissant des compléments bien ciblés, il est possible de renforcer naturellement son capital osseux, à tout âge. Ces gestes simples mais réguliers peuvent faire toute la différence pour préserver sa mobilité, son autonomie et sa qualité de vie, que l’on soit senior ou que l’on souhaite simplement prévenir les effets du temps.

Rien n’est figé : les os sont vivants, et ils répondent positivement aux bons stimuli.
Avec douceur, constance et bienveillance, chacun peut reprendre le pouvoir sur sa santé osseuse.👉 Envie d’aller plus loin ? Découvrez aussi notre article : L’impact des minéraux sur la santé des os : calcium, magnésium et autres nutriments

Bibliographie

Voir les références scientifiques

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  3. Rosen CJ. The Epidemiology and Pathogenesis of Osteoporosis. [Updated 2020 Jun 21]. In: Feingold KR, Ahmed SF, Anawalt B, et al., editors. Endotext [Internet]. South Dartmouth (MA): MDText.com, Inc.; 2000-.
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Marlène Barthelme

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Fondatrice et responsable éditoriale de Famtastique. Après plusieurs années dans le monde de la santé naturelle, je décide de venir en aide aux familles de façon plus générale ✨