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Vitamine C : bienfaits, aliments, quantité par jour et précautions à connaître

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La vitamine C, aussi appelée acide ascorbique, est sans doute l’une des vitamines les plus populaires et les plus étudiées. Connue pour son rôle dans la prévention du scorbut (une maladie causée par une carence sévère), elle est aujourd’hui surtout appréciée pour ses bienfaits sur le système immunitaire, sa fonction antioxydante et son rôle clé dans la synthèse du collagène.

Contrairement à de nombreux animaux, l’être humain ne peut pas synthétiser la vitamine C. Il doit donc la puiser quotidiennement dans son alimentation ou, dans certains cas, via des compléments alimentaires.

Mais quels sont réellement ses bienfaits ? Quels aliments en contiennent le plus ? Et faut-il vraiment prendre des suppléments pour éviter les carences ? C’est ce que nous allons explorer ensemble.

I. Les bienfaits de la vitamine C

1. Un bouclier antioxydant puissant

L’une des fonctions les plus célèbres de la vitamine C est son puissant action antioxydante. Elle agit comme un donneur d’électrons, neutralisant les radicaux libres et les espèces réactives de l’oxygène (ERO) générés naturellement par le métabolisme cellulaire et par l’exposition à des toxines environnementales comme la pollution ou les UV  [1]. En clair, elle joue le rôle d’un bouclier protecteur pour nos cellules, les défendant contre les agressions du quotidien (stress, mauvaise alimentation, pollution) qui accélèrent leur vieillissement et favorisent les maladies.

En effet, cette neutralisation protège les macromolécules (ADN, protéines, lipides) des dommages oxydatifs, qui sont impliqués dans le vieillissement prématuré et le développement de maladies chroniques [1]. En régénérant d’autres antioxydants majeurs comme la vitamine E, la vitamine C renforce également le système de défense antioxydant endogène, créant un réseau de protection synergique [2].

2. Pilier de la synthèse du collagène et de l’intégrité tissulaire

Une jeune femme avec de beaux cheveux et une belle peau assise dans un champs.

Au-delà de son rôle antioxydant, la vitamine C est un cofacteur enzymatique indispensable pour la biosynthèse du collagène. Elle est absolument nécessaire pour l’hydroxylation des résidus lysine et proline dans la chaîne peptidique procollagène, une étape cruciale pour la stabilisation et la maturation de la triple hélice du collagène [3]. Cela signifie que la vitamine C est l’ouvrière indispensable qui permet au collagène de se structurer et de devenir solide et stable. Sans elle, notre « colle biologique » est de mauvaise qualité et nos tissus se fragilisent.

💡 Bon à savoir : cette fonction est vitale pour l’intégrité de la peau, des tendons, des ligaments, des vaisseaux sanguins et des os. Une carence en vitamine C entraîne le scorbut, caractérisé précisément par une synthèse défectueuse du collagène menant à une faiblesse tissulaire, des hémorragies et une mauvaise cicatrisation.

3. Un modulateur clé de la fonction immunitaire

La contribution de la vitamine C à la santé immunitaire est substantielle, bien que souvent mal comprise. Elle n’empêche pas magiquement de contracter un rhume, mais des méta-analyses robustes ont montré qu’une supplémentation régulière (≥ 200 mg / jour) pouvait réduire la durée et la sévérité des rhumes dans la population générale, et cet effet est particulièrement marqué chez les individus soumis à un stress physique intense (comme les marathoniens ou les militaires) [4].

La vitamine C soutient diverses fonctions immunitaires : elle favorise la chimiotaxie et la phagocytose des neutrophiles, protège ces mêmes cellules immunitaires de l’auto-destruction oxydative, et semble moduler la production de certaines cytokines [5]. En pratique, cela signifie qu’elle aide nos soldats immunitaires (les globules blancs) à se déplacer plus vite sur le lieu de l’infection, à mieux détruire les microbes, et les empêche de s’épuiser trop vite lors du combat. Elle agit aussi comme un chef d’orchestre pour réguler les messages d’alerte et d’inflammation.

4. Un atout pour la santé cardiovasculaire

Un senior qui se fait ausculter le cœur car il manque de vitamine C.

Son impact sur la santé cardiovasculaire est un domaine de recherche actif. En tant qu’antioxydant, elle protège les lipoprotéines de basse densité (LDL) de l’oxydation, une étape clé dans la pathogenèse de l’athérosclérose [6]. En clair, elle empêche le « mauvais cholestérol » (LDL) de s’oxyder et de devenir nocif, un processus qui est justement à l’origine du dépôt de plaques qui bouchent peu à peu nos artères.

Par ailleurs, de nombreuses études ont constaté un lien très clair : plus le taux de vitamine C dans le sang est élevé, plus le risque de faire une crise cardiaque ou un AVC est faible. Pour confirmer ce lien, une analyse regroupant plusieurs études a aussi montré que prendre des compléments de vitamine C aidait à faire baisser légèrement, mais sûrement, la tension artérielle, ce qui est excellent pour la santé des artères [7].

5. Perspectives dans la prévention du cancer

Enfin, la recherche explore son rôle potentiel dans la prévention de certains cancers. Les fortes concentrations dans le sang de vitamine C sont associées à un risque plus faible de développer plusieurs types de cancers

Des études in vitro et sur des modèles animaux utilisant des doses pharmacologiques intraveineuses (non réalisables par voie orale) ont démontré une activité pro-oxydante qui génère du peroxyde d’hydrogène cytotoxique, ciblant sélectivement les cellules cancéreuses [8]. Ces recherches explorent un traitement expérimental où de la vitamine C à très fortes doses, donnée en perfusion, pourrait empoisonner sélectivement les cellules cancéreuses

💡 Bon à savoir : c’est une piste prometteuse, mais cela n’a rien à voir avec le fait de manger des oranges ou de prendre des compléments alimentaires en gélules. Bien que le rôle de la supplémentation orale dans le traitement du cancer reste non prouvé chez l’humain, son action antioxydante protectrice en fait un acteur important dans la prévention.

6. La vitamine C et l’absorption du fer : une alliée indispensable

La vitamine C joue un rôle fondamental dans l’absorption du fer, en particulier du fer non héminique d’origine végétale (légumineuses, épinards, céréales). Ce type de fer est beaucoup moins biodisponible que le fer héminique provenant des produits animaux.

Son action est double [9] : elle maintient le fer sous sa forme ferreuse (Fe²⁺), plus soluble et donc plus facilement absorbable par la muqueuse intestinale, et elle peut former un complexe absorbable avec le fer dans la lumière de l’intestin.

Cet effet est cliniquement significatif. Des études montrent que la consommation de 100 mg de vitamine C au cours d’un repas peut multiplier l’absorption du fer non héminique par 4 ou même 6 [10]. Cette synergie est capitale pour les populations à risque de carence, comme les végétariens et les personnes sujettes à l’anémie ferriprive. 

💡En résumé, intégrer une source de vitamine C (agrumes, poivrons, brocolis) à chaque repas contenant du fer végétal est une stratégie nutritionnelle simple et très efficace pour optimiser le statut en fer.

7. La vitamine C pour le bien-être général, l’humeur et l’énergie

Un couple de seniors qui font du yoga ensemble pour bien vieillir.

Au-delà de ses fonctions physiologiques spécifiques, la vitamine C est un pilier essentiel du bien-être général et de la vitalité. Son rôle dans la réduction de la fatigue est bien établi. En tant que cofacteur essentiel dans la synthèse de la carnitine, une molécule cruciale pour transporter les acides gras dans les mitochondries – les « centrales énergétiques » de nos cellules –, elle permet une production optimale d’énergie [2]. Une carence en vitamine C perturbe ce processus, contribuant directement à une sensation de fatigue et à une baisse d’endurance.

Son impact sur l’humeur est tout aussi significatif. La vitamine C est un cofacteur indispensable dans la production de neurotransmetteurs clés comme la noradrénaline et la dopamine, qui régulent l’humeur, la motivation et la vigilance [11]. 

De plus, en tant que principal antioxydant du cerveau, elle protège les neurones du stress oxydatif, dont l’accumulation est liée à l’anxiété et aux troubles de l’humeur. Des études interventionnelles ont d’ailleurs montré qu’une supplémentation améliore l’humeur et réduit les scores d’anxiété et de détresse chez différentes populations, y compris chez des individus dont le statut initial était pourtant considéré comme normal [12].

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II. Les carences en vitamine C : symptômes et conséquences

Une carence sévère est rare dans les pays développés, mais elle reste possible, notamment chez les personnes âgées, les fumeurs, les personnes souffrant d’alcoolisme ou celles ayant une alimentation très déséquilibrée [13].

1. Symptômes d’une carence légère

Une carence légère en vitamine C peut se manifester par une fatigue persistante, une irritabilité accrue, une cicatrisation lente ainsi qu’une fragilité capillaire entraînant des ecchymoses fréquentes et des saignements de gencives.

Un homme malade sous sa couette en carence de vitamine C. Il boit du thé.

2. Symptômes d’une carence sévère (scorbut)

Une carence sévère en vitamine C, connue sous le nom de scorbut, entraîne des symptômes graves qui affectent à la fois la bouche, les articulations, le système immunitaire et l’état général de l’organisme :

  • Déchaussement des dents ;
  • Saignements importants des gencives ;
  • Douleurs articulaires ;
  • Infections fréquentes ;
  • Amaigrissement.

3. Taux normaux et besoins journaliers

Les recommandations officielles varient légèrement selon les pays, mais en France, l’ANSES recommande en fonction de l’âge [14] :

  • Nourrissons de moins de 6 mois : 20 mg / jour ;
  • Nourrissons de 6 mois et plus : 20 mg / jour ;
  • Enfants de 1 à 3 ans : 20 mg / jour ;
  • Enfants de 4 à 6 ans : 30 mg / jour ;
  • Enfants de 7 à 10 ans : 45 mg / jour ;
  • Adolescents de 11 à 14 ans : 70 mg / jour ;
  • Adolescents de 15 à 17 ans : 100 mg / jour ;
  • Hommes et femmes de 18 ans et plus : 110 mg / jour ;
  • Femmes enceintes : 120 mg / jour ;
  • Femmes allaitantes : 170 mg / jour.

💡Bon à savoir : les fumeurs ont des besoins en vitamine C plus élevés que la population générale. En effet, le tabagisme génère un stress oxydatif intense, entraînant une déplétion accélérée des réserves corporelles en antioxydants. Pour compenser cette perte et maintenir un statut adéquat, les autorités sanitaires recommandent un apport supplémentaire de 35 mg par jour en plus des apports journaliers recommandés standards. Un adulte fumeur devrait viser environ 145 mg / jour (110 mg + 35 mg) [15].

III. Où acheter de la vitamine C de qualité ?

1. Les différentes formes disponibles

On trouve la vitamine C sous plusieurs formes :

  • Vitamine C naturelle issue d’extraits de plantes comme l’acérola ou le camu-camu ;
  • Vitamine C de synthèse (acide ascorbique pur) ;
  • Vitamine C liposomale, encapsulée dans des lipides, réputée pour sa meilleure absorption ;

💡Bon à savoir : comprimés à croquer, gélules, poudres, solutions buvables : le choix dépend de vos préférences.

2. Les dosages

Les compléments sont souvent dosés entre 250 mg et 1000 mg par comprimé. Ce surdosage compense la faible absorption intestinale à haute dose (l’excès est éliminé dans les urines) et vise à saturer temporairement les tissus pour un effet optimal. 

Cependant, une fois les réserves comblées, l’excédent n’a plus d’utilité et peut irriter l’estomac.

3. Choisir une vitamine C de qualité : critères et exigences

Bien choisir sa vitamine C est essentiel : privilégiez des formes bio-identiques, pures et contrôlées, qui garantissent une absorption optimale et répondent à des normes de qualité strictes.

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Elle est biologiquement active, directement assimilée sans transformation enzymatique, contrairement aux ascorbates de synthèse. Produite en Écosse selon des normes pharmaceutiques strictes (ISO 9001, FSSC 22000), elle est la seule vitamine C fabriquée en Europe, écoresponsable et à faible empreinte carbone. 

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IV. Les aliments riches en vitamine C

Contrairement à une idée reçue, l’orange n’est pas l’aliment le plus riche en vitamine C. Voici quelques exemples de sources bien plus concentrées [16] :

Aliments (100 g)Teneur en vitamine C (mg)
Acérola (pulpe crue)2850 mg
Camu-camu2000 mg
Pomme cajou556 mg
Goyave (pulpe crue)492 mg
Cassis181 mg
Persil frais177 mg
Piment rouge155 mg
Raifort152 mg
Chou frisé145 mg
Citron129 mg
Poivron vert / jaune / rouge121 mg
Brocoli cru106 mg
Tomates séchées102 mg
Kiwi81 mg
Fraise54 mg
Orange47,5 mg
Ananas46 mg
Épinards crus41 mg

💡 Astuce : la vitamine C étant sensible à la chaleur et à l’air, privilégiez les aliments crus ou peu cuits (vapeur douce).

V. Effets secondaires et contre-indications

La vitamine C est hydrosoluble, ce qui signifie que l’excès est éliminé par les urines. Toutefois, une consommation excessive (au-delà de 2000 mg / jour) peut entraîner [17] :

  • Des troubles digestifs (diarrhées, ballonnements, douleurs abdominales) ;
  • Des calculs rénaux chez les personnes sensibles ;
  • Des interactions avec certains médicaments anticoagulants.

Il est donc important de respecter les doses recommandées et de demander conseil à un professionnel de santé si vous envisagez une supplémentation élevée.

VI. Synergies et associations avec d’autres nutriments

La vitamine C ne fonctionne pas en solitaire : associée à d’autres nutriments clés, elle démultiplie ses effets, optimise l’absorption et soutient encore mieux la vitalité et l’immunité. Voici les principales synergies : 

Des gélules de vitamine C, fer et vitamine E dans un bol sur un plan de travail en marbre.
  • Fer : la vitamine C améliore son absorption ;
  • Vitamine E : les deux vitamines antioxydantes agissent en complément pour protéger les cellules ;
  • Collagène : pour être bien assimilé, il nécessite la présence de vitamine C ;
  • Zinc : en association, ils soutiennent encore plus efficacement le système immunitaire.

Conclusion

La vitamine C est bien plus qu’un simple “remède de grand-mère contre le rhume”. Elle joue un rôle essentiel dans le bon fonctionnement de l’organisme : immunité, énergie, santé de la peau, protection contre le vieillissement cellulaire…

Une alimentation variée et riche en fruits et légumes suffit généralement à couvrir les besoins, mais les compléments alimentaires peuvent être utiles en cas de carence, de fatigue accrue ou de mode de vie particulier (tabac, grossesse, stress).

👉 Pour aller plus loin, découvrez aussi notre article sur le magnésium : rôle, bienfaits, carence, effets secondaires, un autre minéral essentiel pour l’énergie et la gestion du stress.

Bibliographie

Voir les références scientifiques

  1. Frei, B., England, L., & Ames, B. N. (1989). Ascorbate is an outstanding antioxidant in human blood plasma. Proceedings of the National Academy of Sciences, 86(16), 6377-6381.
  2. Carr, A. C., & Frei, B. (1999). Toward a new recommended dietary allowance for vitamin C based on antioxidant and health effects in humans. The American journal of clinical nutrition, 69(6), 1086-1107.
  3. De Tullio, M. C. (2010). The mystery of vitamin C. Nature Education, 3(9), 48.
  4. Hemilä, H., & Chalker, E. (2013). Vitamin C for preventing and treating the common cold. Cochrane Database of Systematic Reviews.
  5. Carr, A. C., & Maggini, S. (2017). Vitamin C and immune function. Nutrients, 9(11), 1211.
  6. Salonen, J. T., Nyyssönen, K., Salonen, R., Lakka, H. M., Kaikkonen, J., Porkkala-Sarataho, E., … & Poulsen, H. E. (2000). Antioxidant supplementation in atherosclerosis prevention (ASAP) study: a randomized trial of the effect of vitamins E and C on 3-year progression of carotid atherosclerosis. Journal of internal medicine, 248(5), 377-386.
  7. Juraschek, S. P., Guallar, E., Appel, L. J., & Miller III, E. R. (2012). Effects of vitamin C supplementation on blood pressure: a meta-analysis of randomized controlled trials. The American journal of clinical nutrition, 95(5), 1079-1088.
  8. Chen Q, Espey MG, Krishna MC, et al. Pharmacologic ascorbic acid concentrations selectively kill cancer cells: action as a pro-drug to deliver hydrogen peroxide to tissues. Proc Natl Acad Sci U S A. 2005;102(38):13604-13609. doi:10.1073/pnas.0506390102
  9. Lane, D. J., & Richardson, D. R. (2014). The active role of vitamin C in mammalian iron metabolism: much more than just enhanced iron absorption!. Free Radical Biology and Medicine, 75, 69-83.
  10. Teucher, B., Olivares, M., & Cori, H. (2004). Enhancers of iron absorption: ascorbic acid and other organic acids. International Journal for Vitamin and Nutrition Research, 74(6), 403-419. 
  11. Carr, A. C., & Maggini, S. (2017). Vitamin C and Immune Function. Nutrients, 9(11), 1211.
  12. Travica, N., Ried, K., Sali, A., Scholey, A., Hudson, I., & Pipingas, A. (2017). Vitamin C Status and Cognitive Function: A Systematic Review. Nutrients, 9(9), 960.
  13. Pullar, J. M., Carr, A. C., & Vissers, M. C. M. (2017). The Roles of Vitamin C in Skin Health. Nutrients, 9(8), 866.
  14. Gandhi M, Elfeky O, Ertugrul H, Chela HK, Daglilar E. Scurvy: Rediscovering a Forgotten Disease. Diseases. 2023 May 26;11(2):78. doi: 10.3390/diseases11020078. PMID: 37366866; PMCID: PMC10296835. 
  15. ANSES, Les références nutritionnelles en vitamines et minéraux.
  16. NIH, Vitamin C.
  17. ANSES, Ciqual.
  18. Institute of Medicine (US) Panel on Dietary Antioxidants and Related Compounds. Dietary Reference Intakes for Vitamin C, Vitamin E, Selenium, and Carotenoids. Washington (DC): National Academies Press (US); 2000. 5, Vitamin C.

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Marlène Barthelme

une photo de moi, Marlène, une jeune femme aux longs cheveux châtains

Fondatrice et responsable éditoriale de Famtastique. Après plusieurs années dans le monde de la santé naturelle, je décide de venir en aide aux familles de façon plus générale ✨