Aller au contenu

Collagène : mythe ou allié santé ? On fait le point

4.3
(15)

Depuis quelques années, le mot collagène s’est invité partout : dans nos crèmes anti-âge, nos poudres à diluer, nos gummies beauté, et même dans les cafés tendance. En 2025, les ventes de compléments à base de collagène ont littéralement explosé, dopées par les promesses de peau éclatante, d’articulations renforcées et de jeunesse prolongée. Sur les réseaux sociaux, les influenceurs ne jurent que par leurs shots de collagène du matin, tandis que les grandes marques surfent sur cette vague en multipliant les formats séduisants.

Mais pourquoi cette protéine, naturellement présente dans notre corps, suscite-t-elle autant d’engouement aujourd’hui ? Est-ce parce qu’elle compense les effets du vieillissement ? Parce qu’elle colle à une esthétique du « bien vieillir » au naturel ? Ou parce que le marketing a bien compris comment nous parler ?

Dans cet article, on démêle le vrai du faux : quels sont les bienfaits scientifiquement prouvés du collagène ? Quelles formes privilégier pour en tirer un maximum d’effets ? Et surtout, quelles sont ses limites, ses éventuels effets secondaires, ou ses usages sur-vendus ? On fait le point, preuves à l’appui.

Table des matières

I. Le collagène, qu’est-ce que c’est ?

1. Le collagène : une protéine clé pour la structure du corps

Représentation du collagène, des fibroblastes et de l'élastine dans les couches de la peau.

Le collagène est une protéine structurelle essentielle que notre organisme produit naturellement. Présente en grande quantité dans le corps humain, elle agit comme un « ciment biologique » : elle assure la solidité et l’élasticité des tissus conjonctifs tels que la peau, les os, les tendons, les cartilages et même les muscles [1]. C’est un peu l’armature invisible qui maintient notre corps en bonne forme, à la fois souple et résistant.

Sa production repose principalement sur l’activité des fibroblastes, ces cellules spécialisées du tissu conjonctif qui synthétisent non seulement le collagène, mais aussi l’élastine — une autre protéine indispensable à la souplesse de la peau. Ensemble, collagène et élastine forment un réseau dense et élastique qui donne à la peau sa fermeté, sa résistance et sa capacité à se régénérer.

2. Les types de collagène et leur rôle dans l’organisme

Il existe plusieurs types de collagène, mais les trois principaux sont [2] :

  • Le type I, le plus abondant, présent dans la peau, les os, les tendons et les ligaments ;
  • Le type II, surtout présent dans les cartilages et les articulations ;
  • Le type III, retrouvé dans la peau, les vaisseaux sanguins et les organes internes.

💡 Bon à savoir : les types IV et V peuvent être trouvés dans les différentes couches de la peau. Chaque type joue un rôle bien précis dans l’intégrité et le bon fonctionnement de nos tissus.

3. Déclin naturel du collagène avec l’âge

Le corps fabrique naturellement du collagène, notamment à partir des acides aminés, de la vitamine C, du zinc et du cuivre. Mais à partir de 30 ans, sa production diminue progressivement [3, 4]. Résultat : rides, raideurs articulaires, perte de densité osseuse… Ce déclin naturel explique pourquoi de plus en plus de personnes cherchent à stimuler ou complémenter leur collagène pour préserver leur santé et leur apparence [4].

II. Ce que dit la science sur les bienfaits du collagène

1. Le collagène pour la peau : élasticité, hydratation et réduction des rides

Une jeune femme avec de beaux cheveux et une belle peau assise dans un champs.

Le collagène hydrolysé, aussi appelé peptides de collagène, est aujourd’hui l’un des ingrédients phares en nutricosmétique. En effet, il constitue une protéine structurale essentielle de la peau. Mais sa production naturelle diminue progressivement avec l’âge — dès 30 ans, on estime une baisse annuelle d’environ 1 % [4]. Cette réduction se traduit par une perte de fermeté, l’apparition de rides ou un relâchement cutané.

Plusieurs études confirment le potentiel anti-âge du collagène, notamment sur l’élasticité et l’hydratation de la peau. Un essai mené auprès de 69 femmes a montré que deux mois de supplémentation quotidienne en collagène amélioraient significativement la tonicité de la peau [5].

Une autre recherche est venue renforcer ces résultats en démontrant qu’une prise régulière de collagène hydrolysé aidait à réduire la rugosité cutanée, à augmenter l’hydratation et à atténuer visiblement les rides [6].

Enfin, cette protéine pourrait également jouer un rôle dans la lutte contre la cellulite. Une étude conduite sur une durée de six mois a observé une amélioration notable de l’aspect de la peau chez des femmes présentant une cellulite modérée [7]. Le collagène pourrait ainsi contribuer à lisser l’effet « peau d’orange » lorsqu’il est intégré à une routine sur le long terme.

2. Le collagène et les articulations : confort et mobilité

Le collagène de type II, que l’on retrouve surtout dans les articulations, contribue à limiter l’apparition des douleurs articulaires et à préserver la souplesse [8]. Des études menées notamment sur des sportifs ou des personnes âgées montrent une réduction significative des douleurs articulaires et une amélioration de la mobilité après quelques mois de supplémentation [9, 10].

💡Bon à savoir : c’est également un levier important pour limiter le développement de pathologies comme l’arthrose, notamment en ralentissant la dégradation du cartilage.

3. Le collagène au service des os et des muscles

Une femme assise, on voit à travers son corps son squelette.

Le collagène de type I intervient dans la solidité des os et la régénération musculaire [11]. Des recherches récentes indiquent qu’il pourrait améliorer la densité minérale osseuse, en particulier chez les femmes ménopausées à risque d’ostéoporose [12]. 

Par ailleurs, le collagène joue aussi un rôle dans la récupération après un effort physique intense [13, 14]. Associé à un entraînement de résistance, il pourrait également favoriser la prise de masse musculaire chez les personnes âgées [15].

4. Collagène et cicatrisation des escarres

Le collagène hydrolysé pourrait jouer un rôle dans la régénération des tissus cutanés, notamment chez les patients alités. Une étude menée sur des personnes hospitalisées pendant plusieurs semaines a démontré qu’une prise orale trois fois par jour durant huit semaines favorisait la cicatrisation des escarres [16]. Les plaies de pression ont présenté une meilleure évolution, avec une réduction significative de la surface des lésions, suggérant un potentiel thérapeutique du collagène dans ce contexte clinique.

5. Bienfaits du collagène sur la santé des cheveux

Le collagène est de plus en plus présent dans les soins capillaires, tant sous forme de compléments que dans des applications topiques. 

D’après une étude, une supplémentation de 3 mois a amélioré significativement le volume, l’épaisseur, la douceur et la brillance des cheveux, tout en réduisant leur aspect sec [17]. Une autre recherche suggère qu’une application locale de collagène pourrait stimuler la pousse des cheveux et améliorer la vitalité du cuir chevelu [18].

6. Collagène et contrôle de la glycémie

Un docteur teste la glycémie d'un enfant en piquant son doigt.

Des données récentes indiquent que le collagène pourrait aussi avoir un impact bénéfique sur certains marqueurs métaboliques. Une supplémentation de trois mois a permis d’observer une réduction de la glycémie ainsi qu’une diminution modérée de la pression artérielle [19]. 

Ces résultats soutiennent l’idée que le collagène pourrait être un allié complémentaire dans la régulation de la glycémie, à condition de l’intégrer dans une routine globale incluant une alimentation équilibrée et une activité physique régulière.

III. Les promesses exagérées ou non prouvées autour du collagène

1. Collagène et perte de poids : une idée reçue

De nombreux produits à base de collagène vantent des effets sur la perte de poids ou la prise de masse musculaire, parfois sans fondement scientifique solide. En réalité, le collagène n’est pas un brûle-graisse, ni un coupe-faim miraculeux. S’il peut contribuer à une meilleure récupération musculaire lorsqu’il est associé à un entraînement régulier, il ne remplace ni le sport, ni une alimentation équilibrée.

💡Bon à savoir : une étude a cependant confirmé que la supplémentation en peptides de collagène avait un effet bénéfique sur la réduction de la graisse corporelle chez les personnes âgées de plus de 50 ans ayant un niveau d’activité physique quotidien [20].

2. Pas un boosteur d’énergie

Contrairement à certaines promesses marketing, le collagène ne booste pas directement l’énergie. Il ne contient pas de stimulants ni de substances agissant sur le métabolisme énergétique. S’il améliore la santé des tissus conjonctifs, ce bénéfice est structurel et progressif, sans effet immédiat sur la forme ou la vitalité.

3. Le collagène seul ne suffit pas

Aliments booster de collagène, de nombreux plats sur une table blanche.

Le rôle du collagène reste limité sans une bonne hygiène de vie. Sommeil de qualité, alimentation variée, hydratation et activité physique sont indispensables pour que le corps puisse l’assimiler et en tirer profit. Il est aussi souvent confondu avec d’autres actifs : vitamine C, acide hyaluronique, zinc, silicium, qui jouent des rôles complémentaires mais ne sont pas équivalents.

Le collagène peut donc être un soutien utile, mais il ne transforme pas la santé à lui seul. Méfiance face aux slogans trop prometteurs !

4. Des effets visibles… mais lents

Si les bienfaits du collagène sont soutenus par des études sérieuses, les effets ne sont pas immédiats. Il faut souvent attendre 8 à 12 semaines pour constater une différence, et une prise régulière est indispensable pour maintenir les résultats dans le temps. 

Le dosage, la qualité des peptides, leur biodisponibilité et la synergie avec d’autres nutriments jouent également un rôle essentiel. En résumé, le collagène peut être un véritable allié santé, à condition de s’inscrire dans une routine durable et cohérente.

IV. Complément ou alimentation ? Les meilleures sources de collagène

1. Collagène naturel dans l’alimentation : une base intéressante

Avant de penser compléments, sachez que le collagène existe naturellement dans certains aliments. On le retrouve dans les bouillons d’os, les abats (comme les tendons ou la moelle), la peau de poisson, ou encore dans les cartilages [21]. Ces aliments riches en tissus conjonctifs apportent des protéines de collagène, mais leur assimilation dépend fortement de la cuisson et de la digestion.

2. Compléments alimentaires : pratiques et mieux assimilés

Compléments alimentaires de collagène et oméga-3 dans des récipients.

Les compléments de collagène sont formulés à partir de sources animales (bœuf, porc, poisson) et transformés pour être hydrolysés, c’est-à-dire décomposés en petits peptides facilement absorbables. Ils permettent un dosage précis et une meilleure constance dans la consommation, ce qui facilite l’obtention de résultats visibles, à condition d’en prendre sur plusieurs semaines, voire mois.

3. Collagène marin, bovin, végétarien ou végétal : quelles différences ?

Le collagène marin (issu des poissons) est souvent préféré pour sa meilleure biodisponibilité et sa structure proche du collagène humain. Le collagène bovin, plus courant, contient principalement du type I et III, utiles pour la peau, les os et les muscles. 

Le collagène végétarien, à base de membrane d’œuf (marque Ovoderm®) contient naturellement les types I, V et X, ainsi que de l’acide hyaluronique, et agit de manière biomimétique pour favoriser l’élasticité de la peau et diminuer l’apparence des rides après deux mois d’usage quotidien [22]. Des études cliniques ont également montré des effets bénéfiques sur les articulations et la récupération chez des personnes souffrant d’ostéoarthrite, via une réduction notable des douleurs et de la raideur dès 10 jours de supplémentation à 500 mg par jour [23].

💡 À noter : le collagène végétal n’existe pas réellement, car il s’agit en fait de boosters de production naturelle, à base de plantes et d’acides aminés spécifiques.

4. L’importance des cofacteurs

Pour que le corps synthétise efficacement du collagène, certains nutriments sont indispensables. En tête : la vitamine C, qui active la production ; mais aussi le zinc et le cuivre, essentiels à la stabilisation des fibres de collagène [24]. Sans ces cofacteurs, même le meilleur complément perd en efficacité.

👉 L’idéal ? Allier une alimentation ciblée avec un complément bien formulé pour un vrai coup de pouce beauté et santé !

V. Comment bien choisir son collagène ?

Avant de se lancer dans l’achat d’un complément de collagène, plusieurs critères sont à considérer. D’abord, préférez le collagène hydrolysé (ou peptides de collagène), car cette forme est la plus biodisponible : elle est mieux absorbée par l’organisme. Ensuite, optez si possible pour une combinaison de types I et II, qui sont les plus courants dans le corps humain.

Il est également judicieux de tenir compte de vos préférences alimentaires.

  • Les omnivores pourront se tourner vers des collagènes marins ou bovins ;
  • Les végétariens peuvent choisir des formules à base de membrane d’œuf ;
  • Les végétaliens, quant à eux, devront opter pour des boosters végétaux favorisant naturellement la production endogène de collagène.

Enfin, vérifiez toujours la provenance, la transparence des marques, et la présence d’actifs complémentaires comme la vitamine C, essentielle à la synthèse du collagène.

1. Où trouver du collagène végétarien ou végétalien ?

Collagène végétarien de la marque Dynveo.

Si vous suivez une alimentation végétarienne ou végétalienne, il peut sembler difficile de trouver des produits à base de collagène adaptés. En effet, cette molécule est naturellement d’origine animale. Cependant, des alternatives existent. Certaines formules végétariennes utilisent des extraits de membrane coquillière d’œuf, tandis que d’autres misent sur des complexes végétaux qui stimulent la production naturelle de collagène dans le corps.

💜 Collagène végétarien à base d’œuf : voir le produit.
Ce produit innovant contient un extrait breveté issu d’œuf, riche en collagène de types I, V et X, ainsi qu’en élastine, acide hyaluronique, glucosamine et chondroïtine. Il est conçu pour agir à la fois sur la peau, les cheveux, les ongles et les articulations.

💜 Booster végétalien de collagène : voir le produit.
Une formule innovante à base de Coll-egan®, vitamine C, zinc, glycine, proline et acide hyaluronique pour soutenir la synthèse naturelle du collagène, sans goût ni odeur.

2. Vous préférez le collagène marin ?

Si vous consommez des produits d’origine animale, le collagène marin constitue souvent une excellente option. Dérivé des poissons, il est plus léger que le collagène bovin, ce qui favorise une meilleure assimilation. Il est en général composé majoritairement de collagène de type I, particulièrement bénéfique pour la peau.

💜 Collagène marin : voir le produit.
Ce collagène marin hydrolysé de type 1 en poudre est pur, naturel et fabriqué en France. Sa qualité Peptan® garantit une excellente absorption grâce à un poids moléculaire < 2000 Da. Respectueux de l’environnement, issu d’une pêche durable et soutenu par plus de 70 études cliniques.

VI. Posologie du collagène : quelle quantité consommer ?

À ce jour, il n’existe pas de posologie universelle validée pour le collagène, car la dose idéale varie selon le type de collagène utilisé, sa forme (poudre, gélule, boisson…) et l’objectif recherché (peau, articulations, cheveux…).

💊 En pratique, les études scientifiques et les recommandations des fabricants suggèrent généralement une dose quotidienne comprise entre 1 et 5 g. Il est donc préférable de suivre les instructions spécifiques du produit que vous utilisez.

💡Bon à savoir : une étude a montré que le collagène hydrolysé est bien toléré par l’organisme jusqu’à 15 g par jour, ce qui représente la dose maximale envisageable dans un cadre alimentaire standard [25].

VII. Y a-t-il des risques ou des effets secondaires ?

1. Risques allergiques selon la source de collagène

Comme tout produit issu de protéines animales, le collagène peut provoquer des réactions allergiques, notamment lorsqu’il est extrait du poisson, du bœuf ou même de crustacés (dans certains mélanges). Il est donc essentiel de bien lire les étiquettes, surtout si vous avez un terrain allergique connu.

2. Collagène à boire : vigilance sur la composition

Une femme d'âge mûr boit un verre d'eau avec du collagène en poudre.

Les boissons au collagène séduisent par leur praticité, mais certaines formulations contiennent des additifs, des édulcorants, du sucre ou des arômes artificiels. Cela peut nuire à la qualité du produit ou causer des désagréments digestifs. Privilégiez les versions sans additifs inutiles, et vérifiez la teneur réelle en peptides de collagène.

3. Des contre-indications rares mais possibles

Bien que généralement bien toléré, le collagène n’est pas recommandé chez certaines personnes sous traitement immunosuppresseur ou atteintes de maladies auto-immunes (comme le lupus ou la polyarthrite), par précaution [26, 27]. En cas de doute, il est préférable de demander l’avis de son médecin, notamment si l’on suit un traitement médicamenteux.

👉 En résumé, le collagène est plutôt sûr, mais la qualité du produit et le profil individuel doivent guider son utilisation.

VIII. Le collagène est-il vraiment utile ? Pour qui ?

1. Les profils les plus concernés

Même si le collagène attire un public large, certains profils en tirent plus de bénéfices que d’autres. Les seniors, dont la production naturelle décline fortement, peuvent y voir un intérêt pour leurs articulations et leur peau. Les femmes en périménopause, sujettes à une perte d’élasticité cutanée et à une fragilité osseuse accrue, sont également de grandes consommatrices. Les sportifs, exposés à des sollicitations répétées des tendons et des muscles, y trouvent un soutien pour la récupération et la réduction du risque de blessure. Enfin, les personnes à peau mature visent surtout l’aspect esthétique : rides, fermeté, éclat.

2. Collagène en prévention ou en correction ?

L’intérêt du collagène se situe aussi bien en aval, pour ralentir les effets du vieillissement – qu’en correction, en cas de douleurs articulaires ou de relâchement cutané visible. Cependant, les résultats ne sont ni miraculeux ni instantanés : il faut plusieurs semaines à mois d’usage régulier.

3. Un levier, mais pas une solution unique

Le collagène peut compléter une démarche globale, mais ne remplace jamais une hygiène de vie. Pour optimiser ses effets, il doit s’accompagner d’une alimentation équilibrée, d’exercice physique, et d’une réduction du stress, qui joue aussi sur la peau et les tissus. En résumé : le collagène aide, mais ne fait pas tout.

Conclusion

Le collagène n’est ni un élixir de jouvence, ni une arnaque totale. En 2025, les études confirment des bienfaits réels sur la peau, les articulations ou la récupération, à condition de l’utiliser intelligemment. Il s’agit d’un allié potentiel, surtout dans une approche globale qui combine alimentation équilibrée, activité physique régulière et hygiène de vie saine.

Attention toutefois aux promesses marketing exagérées : le collagène ne fait pas tout, surtout pas en quelques jours. Choisissez des produits de qualité, avec une forme bien assimilable (comme les peptides de collagène hydrolysé), et associez-les à des cofacteurs clés comme la vitamine C. Le mot de la fin ? Patience, régularité et discernement. Le collagène peut aider… mais c’est à vous de créer le terrain favorable à ses effets.

Bibliographie

Voir les références scientifiques

  1. Wu M, Cronin K, Crane JS. Biochemistry, Collagen Synthesis. [Updated 2023 Sep 4]. In: StatPearls [Internet]. Treasure Island (FL): StatPearls Publishing; 2025 Jan-.
  2. Alcaide-Ruggiero L, Molina-Hernández V, Granados MM, Domínguez JM. Main and Minor Types of Collagens in the Articular Cartilage: The Role of Collagens in Repair Tissue Evaluation in Chondral Defects. Int J Mol Sci. 2021 Dec 11;22(24):13329. doi: 10.3390/ijms222413329. PMID: 34948124; PMCID: PMC8706311.
  3. Varani J, Dame MK, Rittie L, Fligiel SE, Kang S, Fisher GJ, Voorhees JJ. Decreased collagen production in chronologically aged skin: roles of age-dependent alteration in fibroblast function and defective mechanical stimulation. Am J Pathol. 2006 Jun;168(6):1861-8. doi: 10.2353/ajpath.2006.051302. PMID: 16723701; PMCID: PMC1606623.
  4. León-López A, Morales-Peñaloza A, Martínez-Juárez VM, Vargas-Torres A, Zeugolis DI, Aguirre-Álvarez G. Hydrolyzed Collagen-Sources and Applications. Molecules. 2019 Nov 7;24(22):4031.
  5. Proksch E, Segger D, Degwert J, Schunck M, Zague V, Oesser S. Oral supplementation of specific collagen peptides has beneficial effects on human skin physiology: a double-blind, placebo-controlled study. Skin Pharmacol Physiol. 2014;27(1):47-55. 
  6. Inoue, N., Sugihara, F. and Wang, X. (2016), Ingestion of bioactive collagen hydrolysates enhance facial skin moisture and elasticity and reduce facial ageing signs in a randomised double‐blind placebo‐controlled clinical study. J. Sci. Food Agric., 96: 4077-4081.
  7. Schunck M, Zague V, Oesser S, Proksch E. Dietary Supplementation with Specific Collagen Peptides Has a Body Mass Index-Dependent Beneficial Effect on Cellulite Morphology. J Med Food. 2015;18(12):1340-1348.
  8. Gencoglu H, Orhan C, Sahin E, Sahin K. Undenatured Type II Collagen (UC-II) in Joint Health and Disease: A Review on the Current Knowledge of Companion Animals. Animals (Basel). 2020 Apr 17;10(4):697. doi: 10.3390/ani10040697. PMID: 32316397; PMCID: PMC7222752.
  9. Khatri M, Naughton RJ, Clifford T, Harper LD, Corr L. The effects of collagen peptide supplementation on body composition, collagen synthesis, and recovery from joint injury and exercise: a systematic review. Amino Acids. 2021 Oct;53(10):1493-1506. doi: 10.1007/s00726-021-03072-x. Epub 2021 Sep 7. PMID: 34491424; PMCID: PMC8521576.
  10. Martínez-Puig D, Costa-Larrión E, Rubio-Rodríguez N, Gálvez-Martín P. Collagen Supplementation for Joint Health: The Link between Composition and Scientific Knowledge. Nutrients. 2023 Mar 8;15(6):1332. doi: 10.3390/nu15061332. PMID: 36986062; PMCID: PMC10058045.
  11. Amirrah IN, Lokanathan Y, Zulkiflee I, Wee MFMR, Motta A, Fauzi MB. A Comprehensive Review on Collagen Type I Development of Biomaterials for Tissue Engineering: From Biosynthesis to Bioscaffold. Biomedicines. 2022 Sep 16;10(9):2307. doi: 10.3390/biomedicines10092307. PMID: 36140407; PMCID: PMC9496548.
  12. König D, Oesser S, Scharla S, Zdzieblik D, Gollhofer A. Specific Collagen Peptides Improve Bone Mineral Density and Bone Markers in Postmenopausal Women-A Randomized Controlled Study. Nutrients. 2018 Jan 16;10(1):97. doi: 10.3390/nu10010097. PMID: 29337906; PMCID: PMC5793325.
  13. Mathew-Steiner SS, Roy S, Sen CK. Collagen in Wound Healing. Bioengineering (Basel). 2021 May 11;8(5):63. doi: 10.3390/bioengineering8050063. PMID: 34064689; PMCID: PMC8151502.
  14. Bischof K, Stafilidis S, Bundschuh L, Oesser S, Baca A, König D. Influence of specific collagen peptides and 12-week concurrent training on recovery-related biomechanical characteristics following exercise-induced muscle damage-A randomized controlled trial. Front Nutr. 2023;10:1266056. Published 2023 Nov 16. doi:10.3389/fnut.2023.1266056
  15. Zdzieblik D, Oesser S, Baumstark MW, Gollhofer A, König D. Collagen peptide supplementation in combination with resistance training improves body composition and increases muscle strength in elderly sarcopenic men: a randomised controlled trial. Br J Nutr. 2015 Oct 28;114(8):1237-45. doi: 10.1017/S0007114515002810. Epub 2015 Sep 10. PMID: 26353786; PMCID: PMC4594048.
  16. Lee SK, Posthauer ME, Dorner B, Redovian V, Maloney MJ. Pressure ulcer healing with a concentrated, fortified, collagen protein hydrolysate supplement: a randomized controlled trial. Adv Skin Wound Care. 2006 Mar;19(2):92-6.
  17. Glynis A. A Double-blind, Placebo-controlled Study Evaluating the Efficacy of an Oral Supplement in Women with Self-perceived Thinning Hair. J Clin Aesthet Dermatol. 2012;5(11):28-34.
  18. Turowski A, Adelmann-Grill BC. Substantivity to hair and skin of l-labelled collagen hydrolysates under application simulating conditions. Int J Cosmet Sci. 1985 Apr;7(2):71-84.
  19. Paul C, Leser S, Oesser S. Significant Amounts of Functional Collagen Peptides Can Be Incorporated in the Diet While Maintaining Indispensable Amino Acid Balance. Nutrients. 2019 May 15;11(5):1079.
  20. Zhu CF, Li GZ, Peng HB, Zhang F, Chen Y, Li Y. Therapeutic effects of marine collagen peptides on Chinese patients with type 2 diabetes mellitus and primary hypertension. Am J Med Sci. 2010 Nov;340(5):360-6.
  21. Park J, Kim M, Shin H, Ahn H, Park YK. Low-Molecular Collagen Peptide Supplementation and Body Fat Mass in Adults Aged ≥ 50 Years: A Randomized, Double-Blind, Placebo-Controlled Trial. Clin Nutr Res. 2023 Oct 31;12(4):245-256. doi: 10.7762/cnr.2023.12.4.245. PMID: 37969940; PMCID: PMC10641330.
  22. Wang H. A Review of the Effects of Collagen Treatment in Clinical Studies. Polymers (Basel). 2021 Nov 9;13(22):3868. doi: 10.3390/polym13223868. PMID: 34833168; PMCID: PMC8620403.
  23. Aguirre A, Gil-Quintana E, Fenaux M, Erdozain S, Sarria I. Beneficial Effects of Oral Supplementation With Ovoderm on Human Skin Physiology: Two Pilot Studies. J Diet Suppl. 2017;14(6):706-714. doi:10.1080/19390211.2017.1310781
  24. Hewlings S, Kalman D, Schneider LV. A Randomized, Double-Blind, Placebo-Controlled, Prospective Clinical Trial Evaluating Water-Soluble Chicken Eggshell Membrane for Improvement in Joint Health in Adults with Knee Osteoarthritis. J Med Food. 2019 Sep;22(9):875-884. doi: 10.1089/jmf.2019.0068. Epub 2019 Aug 5. PMID: 31381494; PMCID: PMC6748399.
  25. Yue, Chengfei & Ding, Changkun & Su, Jieliang & Cheng, Bowen. (2022). Effect of copper and zinc ions on type I collagen self-assembly. International Journal of Polymer Analysis and Characterization. 27. 1-15. 10.1080/1023666X.2022.2093569.
  26. Moreland LW, Gay RE, Gay S. Collagen autoantibodies in patients with vasculitis and systemic lupus erythematosus. Clin Immunol Immunopathol. 1991;60(3):412-418. doi:10.1016/0090-1229(91)90097-t
  27. Wang H. The Potential of Collagen Treatment for Comorbid Diseases. Polymers. 2023; 15(19):3999. https://doi.org/10.3390/polym15193999

Avez-vous apprécié notre article ?

Cliquez sur les étoiles pour nous donner votre avis

Note moyenne 4.3 / 5. Nombre de votes 15

Aucun vote pour l'instant 🙁 Soyez le premier à noter cet article.

Marlène Barthelme

une photo de moi, Marlène, une jeune femme aux longs cheveux châtains

Fondatrice et responsable éditoriale de Famtastique. Après plusieurs années dans le monde de la santé naturelle, je décide de venir en aide aux familles de façon plus générale ✨