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Cuivre : le minéral essentiel pour votre énergie, immunité et beauté

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Le cuivre est un minéral essentiel pour notre organisme, impliqué dans la formation des globules rouges, le bon fonctionnement du système immunitaire et la production d’énergie cellulaire. Il joue également un rôle clé pour la santé de la peau, des cheveux et des ongles. 

Dans cet article, vous découvrirez en détail les bienfaits du cuivre, les signes d’une carence, les meilleures sources alimentaires et compléments, ainsi que des conseils pour l’associer à d’autres nutriments afin d’optimiser ses effets sur votre santé.

I. Les bienfaits du cuivre

1. Métabolisme énergétique

Le cuivre est un oligo‑élément essentiel qui joue un rôle central dans la production d’énergie cellulaire. Il agit comme cofacteur pour de nombreuses enzymes mitochondriales, ces petites centrales énergétiques de nos cellules, permettant la transformation de l’oxygène et des nutriments en énergie utilisable [1]. Sans un apport suffisant en cuivre, cette conversion peut être compromise, ce qui se traduit par une fatigue persistante, une baisse d’endurance et un déficit général de vitalité [2].

En pratique, un métabolisme énergétique optimal dépend d’un équilibre complexe entre divers minéraux et vitamines, et le cuivre en fait partie intégrante. Les personnes dont l’alimentation est pauvre en cuivre, ou souffrant de troubles d’absorption intestinale, peuvent ressentir une fatigue disproportionnée par rapport à leur niveau d’activité [2].

2. Système immunitaire et action antimicrobienne du cuivre

Un enfant se mouche, il semble malade car il a un problème d'immunité à la rentrée scolaire.

Le cuivre est également un élément clé du système immunitaire. Il intervient dans la production et le fonctionnement des globules blancs, qui sont les principaux défenseurs de notre organisme face aux infections [3].

En complément, le cuivre possède des propriétés antimicrobiennes et antifongiques. Il agit comme un véritable bouclier naturel contre certaines bactéries et champignons, ce qui contribue à limiter la prolifération de pathogènes et à protéger la santé globale [4]. Cette action est particulièrement importante pour les personnes dont le système immunitaire peut être fragilisé, comme les seniors ou les individus exposés à des infections récurrentes.

3. Santé neurologique et humeur

Le cuivre joue un rôle essentiel dans le fonctionnement du système nerveux. Il participe à la synthèse de neurotransmetteurs, ces substances chimiques responsables de la transmission des signaux entre les neurones [5]. Un bon statut en cuivre permet donc de maintenir une communication efficace au sein du cerveau, favorisant la concentration, la mémoire et la coordination des fonctions cognitives.

Par ailleurs, une étude a testé la supplémentation en cuivre pendant la grossesse. Elle n’a pas montré d’effet sur la rupture des membranes ou d’autres complications obstétricales, ni sur la santé des nouveau-nés. En revanche, le cuivre a réduit significativement l’anxiété et la dépression chez les femmes et diminué le risque d’infections pendant la grossesse [6].

4. Santé cutanée, collagène et os

Une femme assise,on voit à travers son corps son squelette.

Le cuivre est indispensable à la synthèse du collagène et de l’élastine, protéines structurales qui assurent l’élasticité et la résistance des tissus conjonctifs [7]. Grâce à cette action, un apport suffisant en cuivre permet de maintenir une peau ferme et souple, des cheveux pigmentés et des tissus robustes.

Sur le plan osseux, le cuivre favorise la solidité du squelette en contribuant à la formation et au maintien du collagène osseux [8, 9]. Cela permet de limiter la fragilité osseuse et d’assurer une densité optimale tout au long de la vie, réduisant le risque de fractures ou d’ostéoporose.

Chez les femmes ménopausées, une supplémentation quotidienne de 3 mg de cuivre pendant deux ans a contribué à limiter la perte de densité minérale osseuse, souvent observée à cette période de la vie [10].

5. Action antioxydante du cuivre

Le cuivre est un composant essentiel de l’enzyme Superoxide dismutase (SOD), un puissant antioxydant de l’organisme. Cette enzyme neutralise les radicaux libres, molécules instables responsables du stress oxydatif, qui peuvent endommager les cellules et accélérer le vieillissement [11].

En soutenant l’activité de la SOD, le cuivre protège les cellules et les tissus contre les dommages oxydatifs, contribuant à la longévité cellulaire et à la santé globale. Cette action antioxydante est particulièrement bénéfique pour les organes exposés à un stress métabolique important, comme le cerveau, le cœur ou le foie [11].

💡 Bon à savoir : cette action bénéfique est cependant étroitement dépendante de l’équilibre global du cuivre dans l’organisme. En effet, à l’état libre et en excès, le cuivre peut, à l’inverse, favoriser la production de radicaux libres très agressifs via des réactions de type Fenton. Ce double rôle souligne l’importance de maintenir un statut en cuivre équilibré, ni carencé ni excessif [12].

6. Métabolisme du fer

Le cuivre est indispensable pour le métabolisme du fer. Il facilite le transport et l’utilisation correcte du fer dans l’organisme, nécessaire à la production de l’hémoglobine, la protéine qui transporte l’oxygène dans le sang [13].

Une carence en cuivre peut entraîner une mauvaise utilisation du fer, même si l’apport alimentaire est suffisant. Cela peut se traduire par des formes d’anémie “bloquée”, où le fer reste inutilisable par l’organisme [13]. Pour éviter ce type de problème, il est essentiel de veiller à un apport équilibré en cuivre, notamment via les fruits à coque, les légumineuses, le foie et les crustacés.

7. Santé cardiovasculaire

Une docteur osculte le ryhtme cardiaque d'un patient.

Le cuivre joue un rôle crucial dans la santé cardiovasculaire. Il participe à la formation de collagène et d’élastine, protéines qui assurent la souplesse et la résistance des vaisseaux sanguins [14]. Des vaisseaux solides et flexibles permettent une circulation sanguine efficace et limitent les risques de maladies cardiaques.

Par ailleurs, l’action antioxydante du cuivre protège les tissus cardiovasculaires contre les radicaux libres et le stress oxydatif, facteurs impliqués dans l’athérosclérose et d’autres troubles cardiovasculaires [15]. Une carence en cuivre peut affaiblir les parois des artères, augmentant le risque d’hypertension, de rigidité artérielle et de complications cardiaques [12, 14].

8. Santé des cheveux

Le cuivre est un oligo-élément essentiel, et son rôle pour la santé capillaire est solidement étayé par la recherche scientifique.

Une jeune femme avec de beaux cheveux et une belle peau assise dans un champs.

Tout d’abord, le cuivre est un cofacteur clé des enzymes lysyl oxydase, cruciales pour la formation des liens croisés dans le collagène et l’élastine [15]. Ces protéines de structure renforcent la fibre capillaire, lui conférant résistance et élasticité, et réduisant ainsi la casse. De plus, il est indispensable à l’enzyme tyrosinase, qui intervient dans la synthèse de la mélanine, le pigment naturel des cheveux [16]. Une carence peut donc accélérer l’apparition des cheveux blancs.

Son puissant pouvoir antioxydant protège également les follicules pileux des dommages causés par les radicaux libres (stress oxydatif), un facteur associé au vieillissement du cheveu et à la perte de densité [17]. Enfin, ses propriétés anti-microbiennes et anti-inflammatoires sont bien documentées, offrant un bénéfice pour apaiser les cuirs chevelus irrités [18].

Ainsi, le cuivre agit à plusieurs niveaux : il fortifie la structure du cheveu, préserve sa couleur naturelle et protège le cuir chevelu.

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II. Carence en cuivre et taux sanguins

1. Causes possibles

Une carence en cuivre peut survenir pour plusieurs raisons. Tout d’abord, un apport insuffisant via l’alimentation peut réduire les niveaux de ce minéral essentiel. Les personnes ayant une alimentation très restrictive ou pauvre en aliments riches en cuivre, comme les fruits à coque, les graines, les crustacés ou le foie, sont particulièrement exposées [2].

Les troubles digestifs, comme la maladie cœliaque, la maladie de Crohn ou d’autres problèmes d’absorption intestinale, peuvent également limiter la capacité du corps à assimiler le cuivre [19]. 

De plus, un excès de zinc, souvent présent dans certains compléments alimentaires ou dans une alimentation très riche en produits enrichis, peut réduire l’absorption du cuivre, créant un déséquilibre minéral [20].

En résumé, une carence en cuivre résulte souvent d’un cumul de facteurs alimentaires et physiologiques, qui altèrent l’assimilation ou augmentent les besoins en cuivre. Identifier la cause est essentiel pour corriger la carence efficacement.

2. Symptômes d’une carence en cuivre

Les signes d’une carence en cuivre peuvent être variés et parfois difficiles à relier directement à ce minéral. Voici les principaux [3, 7, 14] :

Une femme asiatique allongée dans un lit qui souffre de fatigue due à un manque en cuivre.
  • Fatigue persistante ;
  • Peau et cheveux ternes ou fragiles ;
  • Troubles neurologiques : picotements, engourdissements, sensibilité altérée ;
  • Fragilité du système immunitaire.

Enfin, une carence prolongée peut provoquer une forme d’anémie, même si l’apport en fer est suffisant, en raison de l’importance du cuivre dans le métabolisme du fer [13].

Reconnaître ces symptômes précocement permet d’agir avant que des complications plus sérieuses ne se développent.

3. Taux sanguins recommandés en cuivre

Les valeurs sanguines usuelles en cuivre permettent de vérifier si l’organisme dispose de quantités adéquates. Une analyse sanguine est généralement recommandée si l’on suspecte une carence, notamment en présence de symptômes tels que fatigue, troubles neurologiques ou fragilité immunitaire.

💉 Généralement, les valeurs normales pour un adulte se situent entre 70 et 140 µg / dL (soit 11 à 22 µmol/L) [21].

Il est conseillé de consulter un professionnel de santé avant toute supplémentation. Seul un dosage précis peut déterminer le besoin réel en cuivre et éviter à la fois les carences et les excès, qui peuvent également être néfastes [12].

III. Où acheter du cuivre de qualité ?

1. Les formes de cuivre

Quand vous choisissez un complément, plusieurs formes sont disponibles : bisglycinate de cuivre, gluconate de cuivre, ou d’autres formes minérales. Ces formes diffèrent par leur absorption et tolérance digestive : le bisglycinate est souvent mieux toléré et mieux assimilé, ce qui peut réduire les désagréments comme les maux de ventre. 

Le gluconate est également courant, mais peut être un peu plus irritant pour certaines personnes. Choisir une forme chélatée ou bien assimilable peut faire la différence pour l’efficacité du complément.

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2. Dosages usuels

Les apports recommandés en cuivre varient selon l’âge, le sexe et la situation physiologique [22] : 

  • Nourrissons de moins de 6 mois : 0,3 mg / j ;
  • Nourrissons de 6 mois et plus : 0,5 mg / j ;
  • Enfants de 1 à 3 ans : 0,8 mg / j ;
  • Enfants de 4 à 6 ans : 1,0 mg / j ;
  • Enfants de 7 à 10 ans : 1,2 mg / j ;
  • Adolescents de 11 à 14 ans : 1,3 mg / j ;
  • Adolescents de 15 à 17 ans : 1,5 mg / j ;
  • Adolescentes de 15 à 17 ans : 1,1 mg / j ;
  • Hommes de 18 ans et plus : 1,9 mg / j ;
  • Femmes de 18 ans et plus : 1,5 mg / j ;
  • Femmes enceintes ou allaitantes : 1,7 mg / j.

3. Qualité du complément

Pour garantir efficacité et sécurité, il est primordial de choisir un complément traçable, soumis à des tests qualité, sans additifs inutiles ni métaux lourds. Privilégier des marques transparentes, avec une formulation simple et propre, augmente les chances que le cuivre soit absorbé correctement et utilisé par l’organisme.

IV. Les aliments riches en cuivre

Aliments riches en cuivre : pâtes, céréales, foie, crevettes, légumineuses, oléagineux, etc.

1. Sources animales

Pour faire le plein de cuivre avec des aliments faciles à intégrer au quotidien, les options animales peuvent aider [23] :

  • Abats (comme le foie) : très concentrés, ils apportent une dose élevée ;
  • Fruits de mer : notamment les huîtres, les moules et les crevettes, parfaits pour un repas rapide et nutritif ;
  • Poissons : sardines, maquereaux, saumon… une façon simple d’en apporter à la famille, tout en profitant d’oméga-3.

Ces aliments peuvent être consommés une ou deux fois par semaine, sans avoir à bouleverser le menu familial.

2. Sources végétales

Si vous préférez limiter les produits animaux, les sources végétales en cuivre sont nombreuses [23] :

  • Graines, oléagineux et huiles : noix de cajou, amandes, graines de tournesol… faciles à glisser dans un goûter ou une salade ;
  • Légumineuses : lentilles, pois chiches, haricots rouges ;
  • Cacao : le cacao pur non sucré en poudre est un petit plus minéral très pratique ;
  • Céréales complètes : riz complet, flocons d’avoine, pain complet ;
  • Champignons : surtout les shiitakés.

Parfait pour enrichir l’alimentation de toute la famille sans efforts.

V. Effets secondaires et contre-indications

1. Excès de cuivre

Un excès de cuivre, surtout via les compléments, peut être toxique. Les principaux symptômes sont : nausées, vomissements, douleurs abdominales, fatigue ou irritations digestives [24]. 

L’automédication prolongée est donc déconseillée. Les excès alimentaires sont rares, car le corps régule en grande partie l’absorption. Le mieux reste de vérifier son statut via une analyse sanguine avant toute supplémentation.

2. Contre-indications

Certaines situations exigent un avis médical :

  • Maladies du foie, affectant le métabolisme du cuivre [25] ;
  • Maladie de Wilson, où l’accumulation de cuivre est toxique [26] ;
  • Traitements pouvant interférer avec l’absorption ou l’utilisation du cuivre [27] ;
  • Femmes enceintes ou allaitantes : toute supplémentation doit être encadrée [28].

En résumé, la prudence est de mise : évitez les excès prolongés et consultez un professionnel avant toute supplémentation.

VI. Associations avec d’autres nutriments et Interactions possibles

1. Synergie et interaction avec le zinc

Le cuivre et le zinc travaillent souvent en tandem dans l’organisme. Un équilibre entre ces deux minéraux est important : un excès de zinc sur le long terme peut réduire l’absorption du cuivre, tandis qu’un apport trop élevé en cuivre peut aussi perturber le métabolisme du zinc. Maintenir un ratio cohérent aide à soutenir les fonctions immunitaires, neurologiques et enzymatiques sans créer de déséquilibre [20]. 

2. Association avec le fer

Le cuivre et le fer ont des rôles complémentaires dans l’organisme, notamment pour la formation des globules rouges et le transport de l’oxygène. Le cuivre facilite l’utilisation correcte du fer et aide à prévenir certaines formes d’anémie. Intégrer les deux minéraux dans une alimentation équilibrée permet de soutenir la santé sanguine et énergétique [13]. Prudence : possible compétition pour l’absorption intestinale.

3. Association avec des vitamines antioxydantes

Le cuivre agit de manière synergique avec certaines vitamines antioxydantes, comme la vitamine C et les vitamines du groupe B. Cette association contribue à renforcer la protection cellulaire, soutenir le métabolisme énergétique et maintenir une peau et des tissus sains. Bien que la complémentation soit possible, privilégier les sources alimentaires variées reste l’option la plus sûre.

Avertissement : un apport très élevé, notamment en vitamine C, peut influencer le métabolisme du cuivre.

Conclusion

Le cuivre est un oligo-élément essentiel pour l’énergie, le système immunitaire, la santé neurologique, cutanée, osseuse et cardiovasculaire. 

Maintenir un juste équilibre est crucial : ni carence, ni excès. Avant toute supplémentation, il est conseillé de consulter un professionnel de santé et de s’assurer que l’alimentation apporte déjà des sources suffisantes.

Si vous souhaitez aller plus loin pour renforcer vos défenses naturelles et comprendre comment soutenir votre organisme au quotidien, je vous invite à découvrir notre article complet dédié au système immunitaire faible et aux solutions pour le renforcer.

Bibliographie

Voir les références scientifiques

  1. Prohaska, J. R. (2012). Impact of copper limitation on expression and function of multicopper oxidases (ferroxidases). Advances in Nutrition, 3(6), 822-823.
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  3. Bonham, M., O’Connor, J. M., Hannigan, B. M., & Strain, J. J. (2002). The immune system as a physiological indicator of marginal copper status? British Journal of Nutrition, 87(5), 393-403. 
  4. Grass, G., Rensing, C., & Solioz, M. (2011). Metallic copper as an antimicrobial surface. Applied and Environmental Microbiology, 77(5), 1541-1547. 
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  6. Kashanian M, Hadizadeh H, Faghankhani M, Nazemi M, Sheikhansari N. Evaluating the effects of copper supplement during pregnancy on premature rupture of membranes and pregnancy outcome. J Matern Fetal Neonatal Med. 2018;31(1):39-46. doi:10.1080/14767058.2016.1274299 
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  9. Jonas J, Burns J, Abel EW, Cresswell MJ, Strain JJ, Paterson CR. Impaired mechanical strength of bone in experimental copper deficiency. Ann Nutr Metab. 1993;37(5):245-52. doi: 10.1159/000177774. PMID: 8311418.
  10. Eaton-Evans, J., Mcllrath, E., Jackson, W., McCartney, H. and Strain, J. (1996), Copper supplementation and the maintenance of bone mineral density in middle-aged women. J. Trace Elem. Exp. Med., 9: 87-94.
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  25. Danks, D. M. (1995). Disorders of copper transport. In The Metabolic and Molecular Bases of Inherited Disease (7th ed., pp. 2211-2235). McGraw-Hill.
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Marlène Barthelme

une photo de moi, Marlène, une jeune femme aux longs cheveux châtains

Fondatrice et responsable éditoriale de Famtastique. Après plusieurs années dans le monde de la santé naturelle, je décide de venir en aide aux familles de façon plus générale ✨