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Éducation sexuelle : comment parler de la prévention des IST et de la contraception avec vos enfants

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L’éducation sexuelle joue un rôle clé dans le bien-être familial, en instaurant un climat de confiance et en permettant aux jeunes de faire des choix éclairés. Aborder des sujets tels que la prévention des infections sexuellement transmissibles (IST) et la contraception peut sembler délicat pour de nombreux parents, mais il s’agit d’une étape essentielle pour protéger la santé physique et émotionnelle de vos enfants.

Loin des clichés, l’éducation sexuelle n’est pas qu’une question de biologie : elle permet aussi de transmettre des valeurs, de déconstruire les tabous et de prévenir des situations comme les grossesses non prévues ou les comportements à risque.

Cet article vous offre des conseils pratiques pour parler de manière décomplexée et adaptée à l’âge de vos enfants. Ensemble, faisons de ces conversations une opportunité d’éduquer, de rassurer et de renforcer les liens familiaux.

I. Pourquoi l’éducation sexuelle est essentielle ?

1. Les chiffres alarmants des IST et grossesses non prévues

IST : infections sexuellement transmissibles. Un jeune homme a ses mains au dessus de son pantalon en signe  d'infection.

L’éducation sexuelle joue un rôle crucial face à des statistiques préoccupantes. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), plus d’un million de cas d’infections sexuellement transmissibles (IST) sont diagnostiqués chaque jour dans le monde, les jeunes de 15 à 24 ans étant les plus touchés [1]. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) rapportent que ce groupe représente près de 50 % des nouvelles infections [2]. 

En France, environ 3 % des adolescentes âgées de 15 à 19 ans vivent une grossesse chaque année, souvent non désirée, ce qui peut avoir des conséquences durables sur leur avenir personnel et professionnel. Au niveau mondial, 70 000 adolescentes meurent chaque année à cause d’une grossesse précoce [3].

2. Les conséquences du manque d’information précoce

Un déficit d’éducation sexuelle laisse place aux mythes et aux comportements à risque. Par exemple, des idées fausses comme « on ne peut pas tomber enceinte lors du premier rapport » ou « les IST sont toujours visibles » circulent encore. Ce manque d’éducation peut également nuire à la confiance des jeunes, les empêchant de poser des questions ou de défendre leurs choix, comme l’utilisation du préservatif.

3. L’éducation sexuelle : un pilier du bien-être global

Aborder la sexualité de manière précoce et adaptée favorise l’estime de soi, la communication et des relations saines. Les jeunes mieux informés se sentent plus confiants et mieux équipés pour faire face à des situations complexes. Ainsi, en éduquant nos enfants, nous leur donnons les clés pour évoluer sereinement et avec responsabilité dans leur vie affective et sexuelle.

II. Comment adapter le discours en fonction de l’âge de l’enfant ?

1. Avant 10 ans : poser les bases d’une éducation sexuelle saine

Dès le plus jeune âge, il est essentiel de parler avec simplicité et bienveillance des notions de corps et de consentement. Sur ce sujet, deux écoles coexistent : certains préfèrent utiliser des surnoms pour désigner les organes sexuels, comme « zigounette » ou « kiki », afin de préserver une certaine douceur. Cependant, d’autres estiment qu’utiliser les termes médicaux comme « pénis » ou « vulve » est important pour normaliser ces discussions et éviter les malentendus. Malheureusement, les enfants seront tôt ou tard exposés à des appellations moins jolies, d’où l’intérêt de leur donner un vocabulaire précis et dénué de honte.

En parallèle, introduisez la notion de consentement : expliquez à votre enfant qu’il est maître de son corps et qu’il a le droit de dire « non » à tout contact qui le met mal à l’aise. Les livres illustrés adaptés à cet âge peuvent être un excellent support pour aborder ces sujets de manière ludique et pédagogique.

Les discussions doivent rester simples et accessibles, sans entrer dans des détails complexes. Par exemple, si un enfant demande comment les bébés naissent, une explication adaptée comme « un bébé grandit dans l’utérus de la maman » peut suffire à satisfaire leur curiosité tout en restant honnête.

2. De 10 à 14 ans : accompagner les bouleversements de la puberté

Communication parent-enfants interrompue par les téléphones : une fille est sur son smartphone à table avec sa mère.

La puberté est une étape clé, marquée par des transformations physiques et émotionnelles. C’est le moment idéal pour parler des changements du corps : menstruations, érections, poussée hormonale… Expliquez que ces phénomènes sont naturels et vécus par tous, bien qu’à des rythmes différents.

C’est également l’âge où l’on peut introduire des thèmes comme les IST, la contraception et les relations amoureuses. Utilisez des supports visuels ou des ressources éducatives pour rendre ces concepts plus compréhensibles (voir le paragraphe Ressources utiles à la fin de l’article). Par exemple, expliquez comment fonctionne un préservatif. L’objectif est de leur fournir des informations précises tout en les rassurant sur le fait que ces discussions sont normales et nécessaires.

3. À partir de 15 ans : encourager le dialogue et la réflexion autour de l’éducation sexuelle

À cet âge, les jeunes sont souvent confrontés à des décisions importantes concernant leur sexualité. Discutez plus en profondeur des risques (IST, grossesses non prévues) et de la responsabilité liée à la sexualité. Parlez des différentes méthodes de contraception, de leur efficacité et de leurs limites.

Encouragez-les à poser des questions et à exprimer leurs opinions sans jugement. Montrez-vous disponible et ouvert à aborder des sujets sensibles comme le consentement dans les relations ou les pressions sociales. En créant un espace de dialogue respectueux, vous les aidez à prendre des décisions éclairées et responsables.

III. Parler des infections sexuellement transmissibles (IST)

1. Comprendre les IST : ce qu’il faut savoir

Les infections sexuellement transmissibles (IST) sont des maladies transmises principalement par contact sexuel. Parmi les plus courantes, on trouve :

  • La chlamydia : souvent asymptomatique, elle peut causer des complications graves comme l’infertilité si elle n’est pas traitée [4] ;
  • Le VIH : virus responsable du SIDA, il attaque le système immunitaire, rendant le corps vulnérable aux infections [5] ;
  • Le papillomavirus humain (HPV) : une des IST les plus répandues, certaines souches sont liées à des cancers, notamment du col de l’utérus [6].

Les mécanismes de transmission varient selon l’IST, mais la plupart se propagent lors de rapports sexuels non protégés (vaginaux, anaux ou oraux). Certaines, comme le HPV ou l’herpès génital, peuvent également se transmettre par simple contact peau à peau. 

💡 Bon à savoir : il est important de rappeler que ces infections ne sont pas toujours visibles. Une personne peut être infectée sans présenter de symptômes, mais transmettre néanmoins la maladie.

2. Prévenir les IST : des gestes essentiels enseignés par l’éducation sexuelle

Porter un préservatif

Le préservatif, masculin ou féminin, reste la méthode la plus efficace pour réduire le risque de transmission des IST [7]. Expliquez à vos enfants qu’il doit être utilisé systématiquement lors de tout rapport sexuel. Une démonstration pratique avec un modèle éducatif peut aider à lever les doutes sur son utilisation.

💡 Bon à savoir : les préservatifs sont essentiels pour se protéger contre de nombreuses IST et également réduire les risques de contracter le HPV [8]. Cependant, le HPV peut infecter des zones non couvertes par le préservatif. Par conséquent, les préservatifs ne protègent pas totalement contre le papillomavirus. Il est donc crucial de se faire tester régulièrement pour préserver sa santé et celle de son partenaire.

Vaccinations disponibles

Vaccin du HPV : éducation sexuelle tôt pour éviter les IST. Une petite fille se fait vacciner.

Certaines IST, comme le HPV, peuvent être prévenues grâce à la vaccination. Le vaccin contre le HPV est recommandé dès l’âge de 11 ans, avant les premiers rapports sexuels. Des études montrent que plus il est administré tôt, plus il a des chances d’être efficace [9]. Il protège contre les souches responsables de verrues génitales et de cancers.

Se faire tester régulièrement

Les tests de dépistage sont essentiels, surtout en cas de changement de partenaire ou si des symptômes apparaissent (douleurs, démangeaisons, pertes inhabituelles). Expliquez que se faire dépister est une preuve de responsabilité et de respect envers soi-même et ses partenaires.

3. Conseils pour en parler avec ses enfants

Utiliser des supports visuels et informatifs

Les brochures, vidéos éducatives et infographies permettent d’expliquer les IST de manière claire. Par exemple, un schéma illustrant le mode d’action du VIH ou les zones à risque pour le HPV peut aider à mieux comprendre ces infections.

Adopter un langage décomplexé et scientifique

Évitez les euphémismes ou les formulations vagues. Utilisez des termes médicaux simples mais précis, comme « virus », « bactérie », « muqueuses ». Une approche factuelle permet de réduire la gêne et d’instaurer une discussion sereine.

Privilégier un moment calme et privé

Choisissez un moment propice, où votre enfant est disponible et détendu. Présentez le sujet comme une discussion normale, en expliquant que vous êtes là pour répondre à toutes leurs questions.

En abordant les IST de manière ouverte et pédagogique, vous aidez vos enfants à développer une meilleure compréhension de leur santé sexuelle et à prendre des décisions éclairées.

IV. La contraception : un éventail d’options

1. Les méthodes contraceptives principales

La contraception vise à prévenir les grossesses non prévues en offrant une variété de méthodes adaptées aux besoins et préférences de chacun. Voici les options principales :

Contraceptifs barrières

Éducation sexuelle ; une jeune fille porte un préservatif en main.

Les préservatifs masculins et féminins empêchent les spermatozoïdes de rencontrer l’ovule. En plus de prévenir les grossesses, ils protègent également contre les IST.

Méthodes hormonales

  • Pilules contraceptives : combinées (œstrogène et progestérone) ou progestatives, elles inhibent l’ovulation et modifient la muqueuse utérine.
  • Stérilet hormonal, ou Dispositif Intra Utérin (DIU) : petit dispositif inséré dans l’utérus qui diffuse des hormones sur plusieurs années.
  • Implants contraceptifs : insérés sous la peau, ils libèrent des hormones sur une longue période.

Méthodes non hormonales

  • Stérilet non hormonal : le stérilet non hormonal est une méthode de contraception efficace qui ne contient pas d’hormones, offrant une alternative idéale pour celles qui préfèrent éviter les traitements hormonaux. Il est en plastique avec un ou plusieurs manchons de cuivre. Le dispositif empêche l’installation d’une grossesse dans l’utérus et le cuivre rend les spermatozoïdes inactifs.
  • Symptothermie : méthode naturelle basée sur l’observation des cycles (température corporelle, glaire cervicale). Très efficace lorsque la personne est consciencieuse. 
  • Diaphragme et spermicides : dispositifs insérés dans le vagin pour bloquer ou neutraliser les spermatozoïdes.

2. Efficacité et limites de chaque méthode

Il est essentiel de connaître l’efficacité et les limites des différentes options :

  • Préservatifs : très efficaces lorsqu’ils sont correctement utilisés, mais sensibles aux erreurs (mauvaise mise en place, péremption, rupture) ;
  • Pilule contraceptive : efficace à plus de 99 % avec une prise régulière, mais nécessite une discipline quotidienne. Traitement hormonal qui peut ne pas être supporté et lourd en effets secondaires ;
  • Stérilets et implants : considérés comme parmi les méthodes les plus fiables en raison de leur action continue et leur faible taux d’échec ;
  • Symptothermie et méthodes naturelles : elles nécessitent une parfaite connaissance des cycles et un suivi rigoureux.

Déconstruire les mythes :

« Les préservatifs ne sont pas fiables » : faux, ils sont très efficaces s’ils sont correctement utilisés. Par ailleurs, ils sont les seuls à offrir une double protection contre les grossesses et les IST.

« Il n’y a que la pilule pour les femmes » : une idée fausse, car les options incluent les stérilets, les implants, les patchs et même des recherches en cours pour des contraceptifs masculins.

3. Engager la discussion

Parler de contraception avec vos enfants est une manière de les accompagner dans leur prise de décision éclairée.

Mettre en avant le droit à l’information et au choix

Expliquez que la contraception est une question personnelle. Chaque individu a le droit de choisir ce qui convient à son corps et à sa situation.

Orienter les jeunes vers des professionnels de santé

Une psychologue discute avec une jeune femme sur un canapé.

Encouragez vos enfants à consulter un médecin ou un gynécologue pour obtenir des conseils adaptés. Ces professionnels peuvent expliquer les options disponibles, répondre à leurs questions et les rassurer.

En abordant le sujet de manière ouverte et informée, vous contribuez à normaliser les discussions sur la contraception, un pas essentiel pour leur bien-être et leur autonomie.

V. Conseils pratiques pour ouvrir le dialogue

1. Se préparer à aborder l’éducation sexuelle

Parler de sexualité avec ses enfants peut être intimidant, mais une bonne préparation facilite la tâche.

  • Rassembler des informations fiables : appuyez-vous sur des sources reconnues, comme les sites officiels (OMS, Planning familial), des livres ou des brochures éducatives (voir Ressources utiles, plus loin dans l’article). Cela vous permet d’offrir des réponses précises et adaptées.
  • Prévoir un moment calme et propice : choisissez un moment où vous êtes tous détendus, comme après un repas ou lors d’une balade. Évitez les moments stressants ou conflictuels.

Une préparation solide vous permettra d’aborder ces sujets de manière sereine et structurée.

2. Techniques pour décomplexer la conversation

La sexualité reste un sujet sensible pour beaucoup. Adopter une approche détendue et naturelle est essentiel pour mettre votre enfant à l’aise.

  • Poser des questions ouvertes : par exemple, « Que sais-tu des moyens de se protéger des IST ? » ou « As-tu déjà entendu parler de contraception ? ». Ces questions encouragent la discussion sans imposer une direction.
  • Utiliser des supports éducatifs : les livres, vidéos ou guides spécialement conçus pour les jeunes sont d’excellents outils. Ils permettent d’expliquer des concepts complexes de manière visuelle et simple.

3. Créer un espace de confiance

L’instauration d’un climat de confiance est primordiale pour que vos enfants se sentent à l’aise d’aborder ces sujets.

  • Montrer que toutes les questions sont les bienvenues : répétez que le dialogue est un espace sûr, où aucune question n’est « bête » ou « inappropriée ».
  • Éviter le jugement : adoptez une posture bienveillante. Si votre enfant partage une expérience ou une opinion, écoutez sans critiquer ou minimiser.

En offrant une écoute attentive et respectueuse, vous favorisez une communication ouverte et honnête.

4. L’importance de l’écoute active dans l’éducation sexuelle

Communication parents-enfants : une mère écoute attentivement son fils qui parait triste.

Le dialogue sur la sexualité n’est pas seulement un moment d’enseignement : c’est aussi une opportunité de comprendre les craintes et incompréhensions de vos enfants.

  • Laisser vos enfants s’exprimer : écoutez-les sans interruption et reformulez leurs propos pour vous assurer de bien comprendre. Par exemple : « Si je comprends bien, tu te demandes si le préservatif protège toujours ? »
  • Aborder leurs craintes et incompréhensions : répondez à leurs préoccupations avec des informations adaptées. Si une question dépasse vos connaissances, n’hésitez pas à chercher la réponse ensemble.

En pratiquant l’écoute active, vous démontrez que leurs préoccupations sont prises au sérieux, renforçant leur confiance en vous et en eux-mêmes.

💡 Bon à savoir : découvrez sur notre site comment renforcer vos compétences parentales en termes de communication. Voici un guide qui devrait vous aider : les clés pour améliorer la communication parents-enfants.

VI. Ressources utiles

1. Encourager les parents à approfondir leurs connaissances

L’éducation sexuelle est un sujet complexe, mais essentiel. En tant que parent, votre rôle est de fournir des informations adaptées et fiables tout en ouvrant un dialogue sain. N’hésitez pas à continuer à vous informer pour répondre au mieux aux questions de vos enfants et les accompagner dans leur développement.

Prenez le temps d’approfondir vos connaissances, d’explorer les outils à votre disposition et de vous former à une communication adaptée.

Ces ressources vous aideront à aborder avec sérénité d’autres aspects de l’éducation et du dialogue familial.

2. Ressources utiles pour les parents et enfants

Livres pour les parents

📖 « Parlez-leur d’amour… et de sexualité » de Jocelyne Robert. Ce livre est une ressource incontournable pour les parents souhaitant accompagner leurs enfants à travers les étapes de l’éducation affective et sexuelle. Avec des conseils pratiques et bienveillants, il aide à créer un dialogue ouvert et adapté à chaque âge. 👉 Cliquez sur ce lien pour découvrir son prix.

📖 « Corps, amour, sexualité : y’a pas d’âge pour se poser des questions ! ». Ce guide moderne et inclusif répond à plus de 130 questions sur des thèmes essentiels comme le consentement, les identités de genre, ou encore les relations affectives. Illustré et bien documenté, il offre une approche concrète et engageante pour toutes les générations. 👉 Cliquez sur ce lien pour découvrir son prix.

Livres pour enfants et adolescents

📖 « Le guide du zizi sexuel » de Zep et Hélène Bruller : ce livre, à la fois drôle et éducatif, est parfait pour les préadolescents curieux. Avec son ton décontracté et ses illustrations, il aborde les premières questions sur la puberté et la sexualité de manière légère et accessible. 👉 Cliquez sur ce lien pour découvrir son prix.

📖 “Le petit guide de la Foufoune Sexuelle” de Julia Pietri : ce livre d’éducation sexuelle inclusif parle avec bienveillance du consentement, des émotions et des corps. Adapté aux enfants de 4 à 12 ans, il est idéal pour répondre à leurs premières questions en toute simplicité. 👉 Cliquez sur ce lien pour découvrir son prix.

📖 “L’ENCYCLO DE LA VIE SEXUELLE 4-6 ANS” d’Isabelle Fougère : conçu spécialement pour les tout-petits, cet ouvrage explique avec douceur et pédagogie les premières notions de la vie sexuelle et affective. Il est parfait pour initier les discussions dès le plus jeune âge. 👉 Cliquez sur ce lien pour découvrir son prix.

📖 “Le petit illustré de l’intimité” de Tiphaine Dieumegard : avec une approche engagée, inclusive et sans tabou, ce livre explore l’anatomie et l’intimité des enfants, en leur offrant les clés pour mieux comprendre leur corps. Un outil précieux pour aborder ces sujets en famille. 👉 Cliquez sur ce lien pour découvrir le prix du petit illustré de l’intimité : de la vulve, du vagin, de l’utérus, du clitoris, des règles, etc. ou cliquez ici pour le petit illustré de l’intimité du pénis, des testicules, du scrotum, du prépuce, des érections, etc.

Sites web fiables

Ces outils vous permettront de compléter vos connaissances et de bénéficier d’un soutien pour aborder ces sujets avec justesse et confiance.

3. Engagez-vous dans une démarche proactive en matière d’éducation sexuelle

Vous avez maintenant toutes les clés pour initier un dialogue ouvert et enrichissant avec vos enfants. Prenez le temps d’explorer ces ressources et d’appliquer les conseils partagés dans cet article. Envie d’en savoir plus ? Consultez nos autres articles dédiés au bien-être familial et à l’éducation positive. Vous êtes le premier guide de vos enfants dans leur apprentissage de la vie. Faites en sorte que ce chemin soit éclairé, bienveillant et instructif.

Bibliographie

Voir les références scientifiques

  1. OMS, Plus d’un million de cas d’infections sexuellement transmissibles curables surviennent chaque jour, 6 juin 2019
  2. CDC, STI Statisctics.
  3. UNESCO, Grossesses précoces et non désirées: recommandations à l’usage du secteur de l’éducation, 2017
  4. OMS, Chlamydia, 2024.
  5. OMS, HIV and AIDS.
  6. OMS, Human papillomavirus and cancer.
  7. Wiyeh AB, Mome RKB, Mahasha PW, Kongnyuy EJ, Wiysonge CS. Effectiveness of the female condom in preventing HIV and sexually transmitted infections: a systematic review and meta-analysis. BMC Public Health. 2020 Mar 12;20(1):319. doi: 10.1186/s12889-020-8384-7. PMID: 32164652; PMCID: PMC7068875.
  8. OMS, Condoms, 2024.
  9. Ellingson MK, Sheikha H, Nyhan K, Oliveira CR, Niccolai LM. Human papillomavirus vaccine effectiveness by age at vaccination: A systematic review. Hum Vaccin Immunother. 2023 Aug 1;19(2):2239085. doi: 10.1080/21645515.2023.2239085. PMID: 37529935; PMCID: PMC10399474.

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Marlène Barthelme

une photo de moi, Marlène, une jeune femme aux longs cheveux châtains

Fondatrice et responsable éditoriale de Famtastique. Après plusieurs années dans le monde de la santé naturelle, je décide de venir en aide aux familles de façon plus générale ✨