Aller au contenu

Les bienfaits du sommeil sur la mémoire et la concentration des étudiants

4.5
(2)

Le sommeil est souvent le parent pauvre de la vie étudiante : entre cours à rallonge, nuits de révision et stress permanent, nombreux sont ceux qui dorment trop peu. Selon une enquête de la mutuelle HEYME, plus d’un étudiant sur deux reconnaît avoir des problèmes de sommeil, dont 33 % estiment qu’ils sont liés au stress [1].

Alors en quoi le sommeil influence-t-il la mémoire et la concentration chez les étudiants ? Quels mécanismes neurologiques, quelles études montrent ces effets, et comment peut-on agir pour améliorer la qualité du sommeil afin de favoriser une meilleure mémoire, une attention stable, et de meilleures performances académiques ?

C’est précisément ce que nous allons explorer dans cet article, afin de vous donner des clés concrètes pour mieux dormir et booster naturellement votre mémoire et votre concentration.

I. Comprendre le rôle du sommeil chez les étudiants

1. Les différents cycles du sommeil

Une nuit de sommeil n’est pas un état uniforme : elle se compose de plusieurs cycles, chacun jouant un rôle spécifique dans la récupération physique et mentale. On distingue principalement trois phases [2] :

Illustration des différentes phases de sommeil.
  • Sommeil lent léger : c’est la première phase après l’endormissement. Elle permet au corps de commencer à se détendre, de ralentir le rythme cardiaque et de préparer l’organisme à un sommeil plus profond ;
  • Sommeil lent profond et très profond : ces phases sont essentielles pour la récupération physique. Elles participent à la réparation des tissus, à la libération d’hormones de croissance et à la consolidation de la mémoire déclarative (faits, concepts, connaissances) ;
  • Sommeil paradoxal : également appelé sommeil REM (Rapid Eye Movement), il est crucial pour la mémoire procédurale (apprentissage des gestes et compétences pratiques) et pour la régulation émotionnelle. C’est durant cette phase que le cerveau traite, trie et intègre les informations acquises pendant la journée, ce qui améliore la mémoire et la concentration.

💡Bon à savoir : chaque cycle dure environ 90 minutes et se répète plusieurs fois par nuit (4 à 6 fois). Un sommeil fragmenté ou insuffisant réduit le temps passé en sommeil profond et paradoxal, impactant directement les performances cognitives et la mémorisation.

2. Les besoins en sommeil des étudiants

Les étudiants, généralement âgés de 18 à 25 ans, ont des besoins spécifiques en sommeil pour soutenir leur apprentissage et leur concentration. Les recommandations des experts en sommeil indiquent 7 à 9 heures par nuit pour cette tranche d’âge [3].

Cependant, ces besoins peuvent varier selon chaque individu en fonction de son rythme circadien, de son mode de vie et de son niveau de stress. Certains étudiants peuvent se sentir reposés avec 7 heures de sommeil, tandis que d’autres auront besoin de 9 heures pour fonctionner de manière optimale.

💡Bon à savoir : un sommeil insuffisant ou irrégulier entraîne fatigue, baisse de concentration, troubles de l’attention et difficulté à mémoriser de nouvelles informations, des problèmes très fréquents chez les étudiants en période d’examens ou de forte charge de travail.

II. Les bienfaits du sommeil sur la mémoire, la concentration et la santé mentale des étudiants

Le sommeil n’est pas une perte de temps mais une phase active et indispensable aux fonctions cognitives de haut niveau et à l’équilibre psychique. Pour les étudiants, il est un allié fondamental pour la réussite académique et le bien-être, agissant comme un véritable catalyseur pour la mémoire, la concentration et la gestion du stress.

1. Consolidation des apprentissages et mémorisation

Le sommeil joue un rôle actif dans la consolidation mnésique. Il s’agit du processus par lequel les souvenirs de la journée sont triés, stabilisés et intégrés dans la mémoire à long terme.

Rôle du sommeil profond et paradoxal :

Un docteur pointe un cerveau en plastique pour expliquer les maladies neurodégénératives.
  • Le sommeil lent profond (stades 2 et 3) est crucial pour la consolidation de la mémoire déclarative (savoirs, faits, concepts académiques). Il favorise le transfert des informations de l’hippocampe vers le cortex cérébral pour un stockage durable ;
  • Le sommeil paradoxal (ou REM, pour Rapid Eye Movement), riche en rêves, est plutôt impliqué dans la consolidation de la mémoire procédurale (savoir-faire) et l’intégration des connaissances en réseau.

La recherche a démontré que des étudiants qui dormaient après avoir appris une liste de mots présentaient un taux de rétention significativement plus élevé (environ 85 %) que ceux restés éveillés (environ 60 %), confirmant que le sommeil stabilise activement les souvenirs et prévient l’oubli [4].

2. Mémoire procédurale et compétences pratiques

Au-delà des connaissances théoriques, le sommeil est essentiel pour maîtriser des compétences pratiques, qu’elles soient physiques (instrument de musique, sport) ou cognitives (méthodologie, présentation orale).

En effet, le sommeil, et particulièrement le sommeil paradoxal, permet d’améliorer des tâches procédurales. Répéter un exposé ou une présentation avant de dormir permet au cerveau de continuer à optimiser les circuits neuronaux sollicités.

Une étude de Walker et Stickgold sur l’apprentissage moteur a montré que la performance sur une tâche de frappe séquentielle (un exercice classique en neurosciences qui consiste à reproduire une séquence spécifique de touches le plus rapidement possible) s’améliorait significativement après une nuit de sommeil, sans pratique supplémentaire [5]. Cette amélioration était corrélée à la quantité de sommeil paradoxal et de sommeil profond, démontrant que le cerveau « répète » et parfait les compétences acquises pendant la veille.

3. Mémoire émotionnelle et gestion du stress

La période des examens est souvent synonyme de stress et d’anxiété, qui nuisent aux performances. Le sommeil, en régulant l’équilibre émotionnel, est un outil de gestion du stress puissant.

Une jeune étudiante avec un livre ouvert sur la tête parait stressée et fatiguée.

Effectivement, le sommeil paradoxal joue un rôle clé dans le traitement des souvenirs émotionnels. Il aide à découpler l’émotion négative (le stress de l’échec) du souvenir lui-même (l’erreur commise), permettant une réaction plus adaptée et moins anxieuse face aux situations futures comme un examen.

Les travaux de Goldstein et Walker ont établi un lien direct entre la privation de sommeil et une hyper-réactivité de l’amygdale, le centre de la peur dans le cerveau [6]. À l’inverse, une nuit complète de sommeil permet une modulation efficace des réponses émotionnelles, réduisant l’anxiété et améliorant la résilience face au stress académique.

4. Concentration, attention et performance académique

La privation de sommeil a un impact délétère immédiat et direct sur les fonctions exécutives du cortex préfrontal, essentielles pour les études.

Un manque de sommeil, même minime, altère la capacité à maintenir son attention de façon prolongée, augmente les erreurs d’inattention et réduit la vitesse de traitement de l’information. Un étudiant en manque de sommeil aura beaucoup plus de mal à suivre un cours long ou à rester concentré lors de ses révisions.

À ce titre, une vaste méta-analyse a établi une corrélation positive significative entre la qualité, la quantité de sommeil et les performances académiques. Les étudiants rapportant une meilleure hygiène de sommeil obtenaient de meilleures notes [7]. Une autre étude souligne que la restriction de sommeil affecte directement les capacités d’apprentissage et les fonctions cognitives nécessaires à la réussite scolaire [8].

5. Sommeil et prévention de la dépression chez les étudiants

Le lien entre un sommeil de mauvaise qualité et les troubles de l’humeur, notamment la dépression, est solidement établi par la recherche. Pour les étudiants, population vulnérable, préserver son sommeil est un facteur protecteur essentiel.

Un sommeil suffisant et réparateur est crucial pour la régulation des neurotransmetteurs et des hormones liées à l’humeur, comme la sérotonine et le cortisol. La privation de sommeil perturbe cet équilibre fragile, augmentant l’irritabilité, le pessimisme et le risque de développer des symptômes dépressifs.

Une étude majeure a montré que les personnes souffrant d’insomnie avaient un risque multiplié par deux de développer une dépression majeure comparé à ceux avec un sommeil normal [9]. Plus spécifiquement chez les étudiants, les travaux de Lovato et Gradisar montrent qu’une mauvaise hygiène de sommeil est un prédicteur significatif de la détresse psychologique et des symptômes dépressifs, indépendamment du stress académique [10].

💜 Où trouver un complexe sommeil naturel et efficace ? Vous cherchez une solution naturelle pour favoriser l’endormissement et améliorer la qualité de vos nuits ? Voici un complexe 100 % naturel qui associe 6 actifs synergiques pour agir sur toutes les causes fréquentes des troubles du sommeil.👉 Voir le produit.

III. Comment améliorer son sommeil quand on est étudiant ?

Pour un étudiant, le sommeil est un allié puissant pour la réussite académique et le bien-être. Optimiser son sommeil passe par une stratégie alliant hygiène de vie, gestion du stress et alimentation.

1. Adopter une bonne hygiène de sommeil

Une hygiène de sommeil rigoureuse est la pierre angulaire d’un repos réparateur. Elle consiste à créer les conditions idéales pour que le sommeil survienne naturellement et soit de qualité.

Un jeune étudiant en manque de sommeil qui regarde son téléphone dans son lit.
  • Heures régulières : se coucher et se lever à des heures similaires, même le week-end, aide à synchroniser l’horloge biologique interne (rythme circadien). Cette régularité stabilise le cycle veille-sommeil et améliore la qualité du sommeil profond et paradoxal [11].
  • Limiter les écrans : la lumière bleue émise par les smartphones, tablettes et ordinateurs inhibe fortement la sécrétion de mélatonine, l’hormone du sommeil. Il est recommandé d’éviter les écrans au moins 1 heure avant le coucher. Les modes « nuit » ou « filtre lumière bleue » sont une aide, mais ne suffisent pas à annuler totalement l’effet perturbateur [12].
  • Environnement propice : la chambre doit être un sanctuaire dédié au repos. Une température fraîche (environ 18-19°C), l’obscurité totale (avec des rideaux opaques ou un masque de sommeil) et le silence (ou un bruit blanc pour masquer les perturbations sonores) sont essentiels pour un sommeil continu et profond [13].

2. Techniques de relaxation et gestion du stress

Le stress académique est l’un des principaux ennemis du sommeil étudiant. Apprendre à le gérer est crucial.

  • Respiration et méditation : des techniques comme la cohérence cardiaque (inspirer 5 secondes, expirer 5 secondes pendant 5 minutes) ou la méditation de pleine conscience (mindfulness) activent le système nerveux parasympathique, induisant un état de calme propice à l’endormissement. Des applications guidées peuvent faciliter l’apprentissage de ces pratiques [14].
  • Activité physique modérée : une pratique sportive régulière, de préférence en matinée ou en début de soirée, améliore considérablement la qualité et la durée du sommeil. Elle favorise l’endormissement et augmente la part de sommeil lent profond. En revanche, un exercice intense juste avant le coucher peut avoir un effet stimulant et contre-productif [15].

3. Optimiser les révisions en fonction du sommeil

Le sommeil est un partenaire actif de la mémorisation. Intégrer cette connaissance dans sa stratégie de révision multiplie son efficacité.

  • Réviser avant de dormir : les études en neurosciences, comme celle de Walker citée précédemment, montrent que le cerveau consolide les nouvelles informations acquises pendant la journée lors du sommeil suivant. Réviser le soir (sans se surexciter juste avant de dormir) permet de « donner à traiter » à son cerveau des éléments importants, renforçant ainsi les traces mnésiques [5].
  • Utiliser les siestes stratégiquement : une sieste de 20 à 30 minutes en début d’après-midi peut améliorer la vigilance et les performances cognitives sans perturber le sommeil nocturne. Elle est idéale pour récupérer après une nuit courte. 

💡 Attention : les siestes plus longues (entrant dans un sommeil profond) peuvent être plus difficiles à terminer et risquent de nuire à l’endormissement le soir et à la santé globale [16].

4. Les plantes et nutriments pour favoriser le sommeil des étudiants

Certaines plantes et nutriments, utilisés de manière complémentaire, peuvent soutenir la détente et améliorer la qualité du sommeil.

Plantes adaptogènes et anxiolytiques

Ashwagandha illustrée à la main : feuilles, fruit et huile.
  • L’ashwagandha (Withania somnifera) : classée comme plante « adaptogène », elle aide l’organisme à s’adapter au stress, un facteur majeur d’insomnie. Des études cliniques montrent que la supplémentation en ashwagandha peut significativement améliorer la qualité du sommeil et réduire l’anxiété, en modulant la réponse du système nerveux au stress. Elle est particulièrement indiquée pour les personnes dont les troubles du sommeil sont liés à l’inquiétude et à la rumination [17] ;
  • La Griffonia simplicifolia (5-HTP) : cette plante est une source naturelle de 5-Hydroxytryptophane (5-HTP), un précurseur direct de la sérotonine, un neurotransmetteur clé de la régulation de l’humeur, qui est lui-même le précurseur de la mélatonine. En augmentant les niveaux de sérotonine, le 5-HTP peut favoriser un état de calme et favoriser la synthèse de mélatonine, aidant ainsi à réguler le cycle veille-sommeil. Il est souvent utilisé pour soutenir l’endormissement et améliorer la qualité subjective du sommeil [18].

Plantes sédatives et relaxantes

  • La valériane (Valeriana officinalis) : c’est l’une des plantes les plus étudiées pour le sommeil. Son mécanisme d’action est complexe et impliquerait une action sur les récepteurs du GABA, un neurotransmetteur qui inhibe l’activité du système nerveux, promouvant ainsi la relaxation. Les méta-analyses suggèrent que la valériane peut réduire le temps d’endormissement et améliorer la qualité globale du sommeil, surtout lorsqu’elle est utilisée de manière régulière sur plusieurs semaines [19] ;
  • La mélisse (Melissa officinalis) : souvent associée à la valériane pour un effet synergique, la mélisse possède des propriétés anxiolytiques et sédatives douces. Elle est traditionnellement utilisée pour soulager les symptômes légers du stress et favoriser le sommeil. Des études indiquent que son association avec la valériane est efficace pour améliorer les symptômes de l’insomnie liés à l’anxiété [20] ;
  • Les tisanes relaxantes (camomille, verveine) : leurs principes actifs (comme les flavonoïdes et les terpénoïdes) agissent sur les récepteurs du système nerveux, favorisant une légère sédation et facilitant l’endormissement [21] ;
  • L’aubépine : reconnue par l’OMS pour son usage traditionnel dans le soulagement de l’anxiété légère, elle contribue à réduire la tension nerveuse et à préparer à un sommeil paisible [22] ;
  • Le gingembre : son intérêt est indirect. Il favorise une bonne digestion et peut éviter les inconforts gastriques qui perturbent souvent le sommeil s’il est consommé le soir.

Nutriments essentiels

La mélatonine : souvent appelée « l’hormone du sommeil », elle est naturellement sécrétée par le cerveau en réponse à l’obscurité pour signaler à l’organisme qu’il est temps de dormir. Une supplémentation en mélatonine peut être particulièrement utile pour les étudiants souffrant de décalage de l’horloge biologique (décalage horaire social ou « social jetlag »), pour ceux qui ont des horaires de sommeil irréguliers, ou pour faciliter l’endormissement. Les études montrent son efficacité principalement pour réduire le temps d’endormissement [23]. Il est conseillé de la prendre 30 à 60 minutes avant le coucher et de privilégier des doses faibles (0,5 à 1 mg pour commencer).

💜 Où trouver une mélatonine 100% naturelle et végétale ? Voici une mélatonine extraite du millepertuis grâce à une méthode sans pétrochimie. Vegan, non-OGM et sans additifs, elle existe en deux dosages (0,3 mg pour un endormissement naturel au quotidien et 1,9 mg pour resynchroniser l’horloge biologique en cas de décalage horaire). 👉 Voir le produit.

La glycine : cet acide aminé joue un rôle de neurotransmetteur inhibiteur. Des études montrent qu’une supplémentation en glycine avant le coucher diminue la température corporelle centrale, favorise une sensation de fatigue et améliore subjectivement la qualité du sommeil réparateur [24].

Le zinc : ce minéral est un cofacteur essentiel dans de nombreuses réactions enzymatiques, y compris celles impliquées dans la synthèse de la mélatonine et la régulation des neurotransmetteurs. Un statut correct en zinc est associé à une meilleure régulation du cycle veille-sommeil [25].

IV. Sommeil et étudiants : où acheter un complément alimentaire pour mieux dormir ?

Quand le sommeil devient difficile, beaucoup d’étudiants et d’adultes se tournent vers les compléments alimentaires. Mais attention : tous ne se valent pas ! Entre formules de synthèse, dosages trop élevés et compositions douteuses, il est parfois difficile de s’y retrouver.

Un complément alimentaire pour le sommeil de qualité doit avant tout être naturel. Privilégiez les produits à base de plantes reconnues en phytothérapie comme la valériane, la mélisse, la verveine ou encore l’ashwagandha. Associés à de la mélatonine végétale (extrait du millepertuis, par exemple), ces actifs agissent en synergie pour :

✅ Réduire le temps d’endormissement
✅ Favoriser une détente profonde
✅ Améliorer la qualité et la continuité du sommeil
✅ Réduire le stress et les réveils nocturnes

La différence se joue aussi sur la pureté de la formule. Fuyez les produits avec additifs, excipients inutiles ou mélatonine de synthèse. Tournez-vous plutôt vers des compléments végans, sans OGM, avec des extraits standardisés et titrés, garantissant la présence des molécules actives efficaces.

Complément alimentaire de la marque Dynveo pour le sommeil.

Enfin, faites confiance à des marques qui misent sur la transparence et la qualité, avec un contrôle strict des matières premières (absence de métaux lourds, pesticides ou contaminants).

💜 Où trouver un complexe sommeil naturel et efficace ? Vous cherchez une solution naturelle pour favoriser l’endormissement et améliorer la qualité de vos nuits ? Voici un complexe 100 % naturel qui associe 6 actifs synergiques pour agir sur toutes les causes fréquentes des troubles du sommeil.👉 Voir le produit.

🌱 Formule premium : uniquement des extraits de plantes naturellement titrés et hautement concentrés ;
🔬 Efficacité prouvée : au moins 5 études cliniques sur chaque actif ;
🛡️ Pureté garantie : vegan, sans excipients, sans additifs, sans accoutumance ;
♻️ Extraits respectueux : procédés doux (aqueux ou hydroalcooliques), préservant les molécules actives.
🌿 6 actifs clés : la mélatonine végétale (millepertuis), de la griffonia (5-HTP), de l’ashwagandha BIO KSM-66, de la valériane, de la mélisse BIO, de la griotte.

Un allié puissant pour retrouver des nuits réparatrices et booster mémoire, concentration et bien-être mental !

Conclusion

En résumé, un sommeil de qualité n’est pas un luxe pour les étudiants, mais une véritable nécessité. Un bon rythme de sommeil favorise la consolidation de la mémoire, améliore la concentration et soutient une santé mentale équilibrée. À l’inverse, accumuler une dette de sommeil fragilise les performances académiques et augmente le stress.

Le message clé est simple : le sommeil est un allié incontournable pour réussir ses études et préserver son bien-être au quotidien. En adoptant quelques habitudes saines et en respectant ses besoins biologiques, chacun peut transformer ses nuits en un véritable booster naturel pour son cerveau.

👉 Et si vos insomnies proviennent du stress, découvrez notre article : Étudiants, comment gérer le stress et l’anxiété liés aux études ?

Bibliographie

Voir les références scientifiques

  1. HEYME, Plus d’un étudiant sur deux reconnaît avoir des problèmes de sommeil.
  2. Desai D, Momin A, Hirpara P, Jha H, Thaker R, Patel J. Exploring the Role of Circadian Rhythms in Sleep and Recovery: A Review Article. Cureus. 2024 Jun 3;16(6):e61568. doi: 10.7759/cureus.61568. PMID: 38962617; PMCID: PMC11221196.
  3. Watson NF, Badr MS, Belenky G, Bliwise DL, Buxton OM, Buysse D, Dinges DF, Gangwisch J, Grandner MA, Kushida C, Malhotra RK, Martin JL, Patel SR, Quan SF, Tasali E. Recommended Amount of Sleep for a Healthy Adult: A Joint Consensus Statement of the American Academy of Sleep Medicine and Sleep Research Society. Sleep. 2015 Jun 1;38(6):843-4. doi: 10.5665/sleep.4716. PMID: 26039963; PMCID: PMC4434546. 
  4. Gais, S., Lucas, B., & Born, J. (2006). Sleep after learning aids memory recall. Learning & Memory, 13(3), 259-262.
  5. Walker, M. P., & Stickgold, R. (2004). Sleep-dependent learning and memory consolidation. Neuron, 44(1), 121-133.
  6. Goldstein, A. N., & Walker, M. P. (2014). The role of sleep in emotional brain function. Annual review of clinical psychology, 10, 679-708.
  7. Dewald, J. F., Meijer, A. M., Oort, F. J., Kerkhof, G. A., & Bögels, S. M. (2010). The influence of sleep quality, sleep duration and sleepiness on school performance in children and adolescents: A meta-analytic review. Sleep Medicine Reviews, 14(3), 179-189.
  8. Curcio, G., Ferrara, M., & De Gennaro, L. (2006). Sleep loss, learning capacity and academic performance. Sleep Medicine Reviews, 10(5), 323-337.
  9. Baglioni, C., Battagliese, G., Feige, B., Spiegelhalder, K., Nissen, C., Voderholzer, U., … & Riemann, D. (2011). Insomnia as a predictor of depression: a meta-analytic evaluation of longitudinal epidemiological studies. Journal of Affective Disorders, 135(1-3), 10-19.
  10. Lovato, N., & Gradisar, M. (2014). A meta-analysis and model of the relationship between sleep and depression in adolescents: recommendations for future research and clinical practice. Sleep Medicine Reviews, 18(6), 521-529.
  11. National Sleep Foundation. (2020). Sleep Hygiene.
  12. Chang, A. M., et al. (2015). Evening use of light-emitting eReaders negatively affects sleep, circadian timing, and next-morning alertness. Proceedings of the National Academy of Sciences, 112(4), 1232-1237.
  13. Harvard Medical School, Division of Sleep Medicine. Healthy Sleep Tips: Taking Action.
  14. Black, D. S., et al. (2015). Mindfulness meditation and improvement in sleep quality and daytime impairment among older adults with sleep disturbances. JAMA Internal Medicine, 175(4), 494-501.
  15. Sleep Foundation. (2023). Physical Activity and Sleep.
  16. National Heart, Lung, and Blood Institute (NHLBI). (2023). Researchers study how daytime naps may influence health.
  17. Langade, D., Kanchi, S., Salve, J., Debnath, K., & Ambegaokar, D. (2019). Efficacy and Safety of Ashwagandha (Withania somnifera) Root Extract in Insomnia and Anxiety: A Double-blind, Randomized, Placebo-controlled Study. Cureus, 11(9), e5797.
  18. Birdsall, T. C. (1998). 5-Hydroxytryptophan: a clinically-effective serotonin precursor. Alternative Medicine Review, 3(4), 271-280.
  19. Fernández-San-Martín, M. I., et al. (2010). Effectiveness of Valerian on insomnia: a meta-analysis of randomized placebo-controlled trials. Sleep Medicine, 11(6), 505-511.
  20. Müller, S. F., & Klement, S. (2006). A combination of valerian and lemon balm is effective in the treatment of restlessness and dyssomnia in children. Phytomedicine, 13(6), 383-387.
  21. European Medicines Agency (EMA). (2018). Assessment report on Matricaria recutita L., flos and Matricaria recutita L., aetheroleum.
  22. World Health Organization (WHO). (1999). Monographs on Selected Medicinal Plants – Vol. 1: Crataegus spp.
  23. Auld, F., Maschauer, E. L., Morrison, I., Skene, D. J., & Riha, R. L. (2017). Evidence for the efficacy of melatonin in the treatment of primary adult sleep disorders. Sleep Medicine Reviews, 34, 10–22.
  24. Yamadera, W., et al. (2007). Glycine ingestion improves subjective sleep quality in human volunteers, correlating with polysomnographic changes. Sleep and Biological Rhythms, 5(2), 126–131.
  25. Cherasse, Y., & Urade, Y. (2017). Dietary Zinc Acts as a Sleep Modulator. International Journal of Molecular Sciences, 18(11), 2334.

Avez-vous apprécié notre article ?

Cliquez sur les étoiles pour nous donner votre avis

Note moyenne 4.5 / 5. Nombre de votes 2

Aucun vote pour l'instant 🙁 Soyez le premier à noter cet article.

Marlène Barthelme

une photo de moi, Marlène, une jeune femme aux longs cheveux châtains

Fondatrice et responsable éditoriale de Famtastique. Après plusieurs années dans le monde de la santé naturelle, je décide de venir en aide aux familles de façon plus générale ✨