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Vitamine B12 : l’incontournable alliée de votre cerveau, de vos nerfs et de votre énergie

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Vous vous sentez souvent fatigué(e), moins concentré(e), un peu à plat sans vraiment comprendre pourquoi ? 🤔 Et si la responsable était une simple carence en vitamine B12 ?

Essentielle à la production d’énergie, au bon fonctionnement du système nerveux et à la fabrication des globules rouges, la B12 est une véritable alliée du quotidien. Pourtant, elle est aussi l’une des vitamines dont on manque le plus facilement, surtout si vous êtes végétarien, senior ou sujet à des troubles digestifs.

Dans cet article, je vous explique pourquoi la vitamine B12 est si cruciale, comment repérer une carence, où la trouver naturellement et quelles sont les meilleures options de supplémentation. Objectif : vous aider à retrouver votre énergie, votre équilibre et votre bien-être, tout simplement. 🌿

Table des matières

I. Qu’est-ce que la vitamine B12 ?

La vitamine B12, ou cobalamine, est une vitamine hydrosoluble essentielle au bon fonctionnement de l’organisme. Contrairement à d’autres vitamines, elle n’est produite que par des micro-organismes (bactéries et archées) présents dans le sol ou dans l’intestin des animaux, ce qui explique pourquoi aucun aliment d’origine végétale n’en contient naturellement [1].

👉 Son rôle est multiple et vital : la B12 participe à la formation des globules rouges, limite certaines formes d’anémie (notamment l’anémie mégaloblastique), soutient le système nerveux en favorisant la synthèse de la myéline, et intervient dans la production de l’ADN et de l’énergie cellulaire [2].

Une carence, même légère, peut provoquer fatigue, troubles neurologiques, baisse de la mémoire ou de l’humeur. Or, selon plusieurs études, elle est particulièrement fréquente chez les végétariens, végétaliens et les personnes âgées, dont l’absorption diminue avec l’âge [3].

En somme, la vitamine B12 mérite toute notre attention : minuscule par sa taille, mais indispensable à notre vitalité physique et mentale.

II. Les bienfaits de la vitamine B12

1. Vitamine B12 et système nerveux : un bouclier pour le cerveau et les nerfs

La vitamine B12 joue un rôle fondamental dans la santé du système nerveux central et périphérique. Elle participe activement à la formation et au maintien de la myéline, cette gaine protectrice qui entoure les fibres nerveuses et assure une transmission rapide et fluide des signaux nerveux [2, 4]. En cas de carence, cette protection se dégrade progressivement, provoquant des symptômes tels que des fourmillements, un engourdissement des extrémités, une faiblesse musculaire, voire des troubles de la coordination et de la marche [5].

Un docteur pointe un cerveau en plastique pour expliquer les troubles neurodégénératifs liés à une carence en vitamine B12.

Sur le plan biologique, la vitamine B12 participe à plusieurs réactions chimiques indispensables au bon fonctionnement du cerveau. Elle aide notamment à produire des molécules qui « réparent » et protègent les cellules nerveuses [6]. Quand le corps en manque, certaines substances toxiques s’accumulent (comme l’acide méthylmalonique) et peuvent perturber la communication entre les neurones, entraînant fatigue mentale, troubles de la mémoire ou difficultés de concentration [7].

Au-delà de son rôle structurel, la B12 est également impliquée dans la régulation des neurotransmetteurs et donc dans les fonctions mentales supérieures telles que la concentration, la mémoire et l’humeur. Une revue systématique a montré qu’un déficit, même modéré, en vitamine B12 est associé à une augmentation du risque de troubles cognitifs, de dépression et de déclin mental lié à l’âge [8].

Des études d’imagerie cérébrale ont également mis en évidence que des taux bas de B12 active étaient corrélés à un volume cérébral réduit et à des lésions de la substance blanche, signes précoces d’un vieillissement cérébral accéléré [9]. Plusieurs études longitudinales ont montré qu’un statut optimal en vitamine B12 est associé à une meilleure performance cognitive et une réduction du risque de déclin cognitif chez les personnes âgées [10].

Enfin, la supplémentation en B12 semble bénéfique dans certains cas de neuropathies périphériques, notamment diabétiques : une méta-analyse récente rapporte une réduction significative de la douleur et une amélioration de la conduction nerveuse après traitement [11].

💡En résumé : la vitamine B12 agit comme un véritable gardien du système nerveux, préservant à la fois la structure des nerfs et la clarté mentale.

2. Santé du sang : la vitamine B12, alliée de l’énergie et de l’oxygénation

La vitamine B12, en synergie avec la vitamine B9 (folate) et le fer, est indispensable à la production des globules rouges dans la moelle osseuse. Elle intervient dans la synthèse de l’ADN des précurseurs érythroïdes, ces cellules qui donneront naissance aux globules rouges matures [12].

Lorsqu’elle vient à manquer, la division cellulaire ralentit, entraînant la production de globules rouges anormalement grands et immatures : c’est l’anémie mégaloblastique, souvent responsable d’une grande fatigue, d’une pâleur marquée et d’un essoufflement à l’effort [13]. Cette anémie peut parfois s’accompagner de symptômes neurologiques si la carence s’installe durablement [14].

Une docteur osculte le ryhtme cardiaque d'un patient.

La B12 joue aussi un rôle clé dans la conversion de l’homocystéine en méthionine, une réaction qui contribue à maintenir un taux normal d’homocystéine dans le sang. Un excès de ce composé est associé à une augmentation du risque de maladies cardiovasculaires et neurodégénératives [15]. Plusieurs études ont démontré qu’une supplémentation conjointe en B12, B9 et B6 permettait de réduire efficacement le taux d’homocystéine et, potentiellement, d‘éviter certains accidents vasculaires cérébraux (AVC) [16].

En soutenant la production de sang et la bonne oxygénation des tissus, la vitamine B12 contribue donc directement à la vitalité et à la résistance à la fatigue.

3. Vitamine B12 et métabolisme énergétique : un moteur pour les cellules

La vitamine B12 est indispensable pour aider notre corps à produire de l’énergie à partir de ce que nous mangeons. Sous sa forme active, elle agit comme une petite « assistante d’enzyme » qui permet de transformer certaines molécules issues des graisses et des protéines en carburant utilisable par nos cellules. Ce processus se déroule dans ce qu’on appelle le cycle de Krebs — la grande « centrale énergétique » du corps humain [17].

Sans suffisamment de B12, cette réaction se bloque : le corps peine alors à utiliser correctement les glucides, les lipides et les acides aminés, ce qui peut se traduire par une baisse d’énergie, une fatigue persistante et parfois une prise de poids liée à une mauvaise oxydation des graisses. En effet, une carence en B12 peut entraîner une fatigue importante et une baisse d’énergie, car le corps n’est plus capable d’utiliser efficacement certains acides aminés et lipides [2,18].

Des études suggèrent ainsi que la B12 pourrait influencer le métabolisme lipidique. Chez les patients atteints de diabète de type 2, la carence en vitamine B12, fréquente surtout sous metformine, est associée à des paramètres lipidiques défavorables et à un risque accru de coronaropathie [19].

💡 Bon à savoir : en clair, la vitamine B12 est un moteur énergétique cellulaire. Elle optimise l’utilisation des nutriments, soutient la détoxification hépatique et renforce la vitalité globale.

4. Croissance, grossesse et développement : la vitamine B12, un pilier pour la vie

Pendant la grossesse, les besoins en vitamine B12 augmentent considérablement. Cette vitamine intervient dans la formation du système nerveux du fœtus et dans la division cellulaire rapide nécessaire à la croissance des tissus [20].

De nombreuses études ont démontré qu’une carence en B12 chez la femme enceinte pouvait avoir de graves conséquences sur la santé de l’enfant : anomalies du tube neural, retard de croissance intra-utérin, faible poids de naissance ou encore prématurité [21]. Ces risques sont encore plus élevés lorsque la carence en B12 est associée à un déficit en folates [22].

Un enfant joue avec des blocs de bois sur un tapis.

Un suivi régulier du statut vitaminique est donc recommandé, notamment chez les femmes végétariennes, végétaliennes ou souffrant de troubles digestifs (comme une maladie cœliaque ou une gastrite atrophique), qui limitent l’absorption de la B12 [10].

Une revue Cochrane (2022) a montré que la supplémentation en vitamine B12 pendant la grossesse augmentait significativement les taux plasmatiques maternels et néonataux, et pourrait améliorer le développement cognitif de l’enfant à long terme [23].

Chez le nouveau-né et l’enfant, la B12 reste essentielle : elle soutient la croissance, le développement cérébral et le bon fonctionnement du système immunitaire. Des carences précoces peuvent entraîner des retards moteurs, une irritabilité accrue et une diminution des capacités d’apprentissage [24].

💡 Bon à savoir : la vitamine B12 est indispensable dès la conception, puis tout au long de la vie, pour soutenir le développement du cerveau, des cellules et du métabolisme.

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III. Où trouver de la vitamine B12 dans l’alimentation ?

La vitamine B12 est essentielle, mais elle n’est naturellement présente que dans les produits d’origine animale. Heureusement, certaines alternatives enrichies existent aussi pour les végétariens et végans 🌿

1. Les sources animales naturelles

Ce sont les aliments les plus riches et les mieux assimilés par l’organisme :

Des aliments riches en vitamine B12 : foie, saumon, abats, céréales enrichies, fromage, etc.
  • Foie de bœuf et autres abats ;
  • Viandes rouges et volailles ;
  • Poissons (saumon, sardine, thon, maquereau…) ;
  • Fruits de mer (huîtres, moules, palourdes) ;
  • Œufs et produits laitiers (yaourt, fromage, lait).

👉 Ces aliments apportent une forme de B12 hautement biodisponible, facilement utilisée par le corps.

2. Les sources végétales enrichies

Les végétaux n’en contiennent pas naturellement, mais certains produits sont enrichis artificiellement :

  • Boissons végétales avec mention “enrichies en B12” (soja, avoine, amande…) ;
  • Céréales du petit-déjeuner fortifiées ;
  • Levures alimentaires enrichies en B12.

⚠️ Attention aux algues comme la spiruline ou la chlorelle : elles contiennent des analogues de B12, qui ressemblent à la vraie vitamine… mais que le corps n’assimile pas correctement.

IV. Où acheter de la vitamine B12 de qualité ?

Lorsque l’alimentation ne suffit plus — notamment chez les végétariens, végans, seniors ou les personnes souffrant de troubles digestifs —, une supplémentation bien choisie devient essentielle pour préserver votre énergie, votre concentration et votre vitalité.

1. Les formes à privilégier

Toutes les vitamines B12 ne se valent pas. 👉 Les plus efficaces sont les formes actives et naturelles, directement assimilables par l’organisme :

  • Méthylcobalamine : soutient le cerveau, la mémoire et les nerfs.
  • Adénosylcobalamine : stimule la production d’énergie au niveau cellulaire.
  • Hydroxycobalamine : forme stable, à libération prolongée dans le corps.

⚠️ À l’inverse, la cyanocobalamine, souvent utilisée dans les compléments basiques, doit être transformée avant d’être active. Ce processus est parfois moins efficace, notamment chez les fumeurs ou les personnes fatiguées.

2. Quel dosage choisir ?

L’absorption naturelle de la vitamine B12 est limitée : seule une petite partie est réellement assimilée.
C’est pourquoi les compléments dosés entre 250 et 1000 µg par jour sont les plus efficaces pour compenser les pertes.
Bonne nouvelle : la B12 est hydrosoluble, ce qui signifie qu’un excès est éliminé naturellement, sans risque de surdosage.

3. Comment reconnaître un bon produit ?

Privilégiez un complément :

  • affichant une pureté supérieure à 98 % ;
  • à base de formes bioactives (méthyl-, adénosyl- ou hydroxycobalamine) ;
  • vegan, clean et sans additifs inutiles ;

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V. Les recommandations journalières en vitamine B12

Savoir combien de vitamine B12 consommer chaque jour est essentiel pour rester en forme, protéger vos nerfs, votre sang et votre énergie. Les besoins varient selon l’âge, la grossesse, l’allaitement ou même le mode de vie.

1. Les apports recommandés selon l’âge et la situation

Pour les enfants et les adultes en bonne santé, voici les repères principaux [25] :

Âge / situationB12 (µg / jour)
1 – 10 ans1,5
11 – 17 ans2,5
18 – 70 ans4
Femme enceinte4,5
Femme allaitante5
> 70 ans4,5

💡 À retenir : ces valeurs sont des bases. Les besoins peuvent augmenter avec le stress, certains médicaments ou une digestion moins efficace.

2. Ce que disent les études

L’EFSA recommande 4 µg par jour pour les adultes, ajusté à 4,5 µg pour la grossesse et 5 µg pour l’allaitement [26]. Les enquêtes européennes montrent que la plupart des adultes consomment entre 4 et 8,6 µg par jour, ce qui couvre bien les besoins [26].

Mais certaines recherches plus récentes indiquent qu’un apport de 5 à 10 µg / jour pourrait être plus optimal pour maintenir des réserves suffisantes et protéger le cerveau et les nerfs, surtout chez les personnes âgées et les végétariens [27].

3. La vitamine B12 et la sécurité

La bonne nouvelle : aucun surdosage connu [28]. La vitamine B12 est hydrosoluble et l’excès est naturellement éliminé par les urines et les selles [27, 1]. Même à des doses élevées comme 1 000 µg / jour, aucune toxicité n’a été observée chez des sujets sains [27]. Cependant, certaines données suggèrent que des suppléments de 25 µg ou plus par jour pourraient augmenter le risque de fractures osseuses [29].

💡 Bon à savoir : les compléments de vitamine B12 affichent souvent des doses très élevées (parfois 500 à 1000 µg par comprimé) alors que les besoins journaliers ne dépassent pas 4 µg. Pas d’inquiétude ! Le corps n’en absorbe qu’une petite fraction (environ 1 à 2 % quand les doses sont fortes), et le surplus est éliminé naturellement par les urines.

👉 Ces dosages élevés sont surtout pensés pour compenser les troubles d’absorption plutôt que pour un simple apport d’entretien.

4. Qui doit faire attention ?

  • Les personnes âgées : l’absorption intestinale diminue avec l’âge ;
  • Les personnes sous traitement à la metformine ;
  • Les femmes enceintes et allaitantes : le bébé puise dans vos réserves ;
  • Les personnes avec des troubles digestifs ou maladies chroniques : la B12 pourrait être mal absorbée.

Même si le risque de surdosage est faible, il reste prudent de ne pas prendre de très fortes doses sans avis médical au quotidien.

💡 Astuce : si vous êtes végétarien, végan ou une personne âgée, un contrôle régulier de votre taux de B12 peut éviter fatigue, troubles nerveux et baisse de mémoire.

VI. Absorption et stockage de la vitamine B12 : un mécanisme bien rodé

1. Comment la vitamine B12 est absorbée

L’absorption de la vitamine B12 est un vrai travail d’équipe entre l’estomac et l’intestin [1, 30] :

  1. Dans la bouche et l’estomac : la B12 se lie d’abord à une protéine salivaire, puis au facteur intrinsèque, une substance produite par l’estomac ;
  2. Dans l’intestin grêle (iléon) : le duo B12 + facteur intrinsèque est absorbé par la paroi intestinale, avant d’être transporté dans le sang par une autre protéine appelée transcobalamine ;
  3. Destination finale : la B12 rejoint les cellules ou le foie, où elle pourra être utilisée ou stockée.

💡 Si une seule de ces étapes est perturbée (gastrite, maladie cœliaque, chirurgie de l’estomac, traitement par metformine…), l’absorption de la B12 chute fortement [31].

2. Où et combien de temps la B12 est-elle stockée ?

Contrairement à la plupart des vitamines hydrosolubles, la vitamine B12 peut être stockée pendant plusieurs années [32].

  • Elle s’accumule principalement dans le foie et les reins ;
  • Un adulte en bonne santé possède 3 à 5 ans de réserve ;
  • Mais attention : en cas de mauvaise absorption, ces réserves peuvent s’épuiser beaucoup plus vite, bien avant que les symptômes n’apparaissent.

VII. Taux, signes et conséquences d’une carence en vitamine B12

Une carence en vitamine B12 peut passer inaperçue pendant un certain temps, car les premiers symptômes sont souvent discrets. Pourtant, elle peut avoir des effets sérieux sur la santé, surtout si elle n’est pas corrigée à temps. Voici les principaux signes à connaître [2, 33] 👇

1. Symptômes précoces

Une femme asiatique allongée dans un lit qui souffre de maux de ventre et de tête.
  • Fatigue persistante et baisse d’énergie ;
  • Pâleur du teint ;
  • Picotements ou fourmillements dans les mains et les pieds ;
  • Troubles de la mémoire, difficulté de concentration ;
  • Irritabilité ou sautes d’humeur.

2. Carence prolongée

  • Anémie mégaloblastique (globules rouges anormalement gros et inefficaces) ;
  • Troubles neurologiques irréversibles si la carence n’est pas traitée à temps ;
  • Chez l’enfant : retard de croissance et de développement cognitif.

3. Quels sont les bons taux de vitamine B12 ?

Pour savoir si vous êtes en bonne santé, la vitamine B12 se mesure dans le sang. Les repères généralement admis sont les suivants [34] :

  • Niveau normal : environ 200 à 900 pg / mL (148 à 664 pmol / L) selon les laboratoires ;
  • Carence probable : en dessous de 200 pg / mL (148 pmol / L) ;
  • Statut insuffisant mais pas encore carence : entre 200 et 300 pg / mL, pouvant déjà provoquer des symptômes subtils.

⚠️ Il est important de noter que certains symptômes peuvent apparaître même avec des niveaux considérés « normaux » si la vitamine B12 active (méthylcobalamine) est faible ou si l’absorption est perturbée.

💡 Astuce : en cas de doute, un dosage sanguin complet, éventuellement complété par la mesure de l’acide méthylmalonique ou de l’homocystéine, permet de mieux évaluer votre statut vitaminique.

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VIII. Effets secondaires et précautions

La vitamine B12 est généralement très sûre lorsqu’elle est prise aux doses recommandées [3, 33]. Toutefois, il est bon de savoir que :

  • Il n’existe pas d’effet indésirable connu à dose physiologique ;
  • Rarement, de fortes doses (>2000 µg / jour) peuvent provoquer des réactions allergiques ou une acné légère.

En cas de supplémentation prolongée, il est conseillé de surveiller les taux sanguins pour s’assurer d’un bon équilibre.

IX. Associations bénéfiques

La vitamine B12 (cobalamine) exerce de nombreuses fonctions physiologiques en interaction synergique avec d’autres micronutriments. Voici les associations documentées par la recherche.

1. Vitamine B12 + vitamine B9 (folates) : synergie pour la formation du sang

Cette association est cruciale pour la synthèse de l’ADN et la production des globules rouges. La vitamine B12 est essentielle au recyclage de la forme active du folate, le méthyltétrahydrofolate. Une carence en B12 peut ainsi « piéger » le folate dans une forme inactive, entraînant une anémie mégaloblastique similaire à celle causée par une carence en folate [35]. Leur supplémentation conjointe est donc souvent recommandée pour corriger efficacement cette forme d’anémie.

2. Vitamine B12 + vitamine B6 (pyridoxine) : régulation du métabolisme de l’homocystéine

La B12 et la B6 agissent en synergie avec les folates dans le cycle de la méthionine pour réguler le métabolisme de l’homocystéine. Des taux élevés de cette dernière constituent un facteur de risque cardiovasculaire indépendant. Des études montrent qu’une supplémentation combinée en B12, B6 et B9 est efficace pour réduire les concentrations plasmatiques d’homocystéine [36].

3. Vitamine B12 + fer : améliore l’oxygénation cellulaire

Dosage du fer dans le sang : un tube de laboratoire rempli de sang.

Le fer est un composant central de l’hémoglobine, tandis que la B12 est indispensable à la maturation des globules rouges. Une carence en l’un ou l’autre peut entraîner une anémie, réduisant la capacité de transport de l’oxygène. Des études ont noté une forte prévalence de la carence en vitamine B12 chez les individus anémiques par carence martiale, suggérant des interactions ou des déficiences coexistantes fréquentes qui impactent l’oxygénation tissulaire [37].

4. Vitamine B12 + magnésium : soutient la concentration et le tonus nerveux

Le magnésium est un cofacteur pour de nombreuses enzymes, dont la méthionine synthase, qui dépend de la forme active de la B12 (méthylcobalamine) pour fonctionner. Cette enzyme est vitale pour la synthèse de la myéline, la gaine qui entoure et protège les nerfs. Bien que les mécanismes directs nécessitent plus de recherche, le rôle du magnésium dans l’activité enzymatique dépendante de la B12 soutient l’idée d’un effet synergique sur la santé nerveuse et cognitive [38].

5. Vitamine B12 + calcium : absorption optimale de la B12

L’absorption de la vitamine B12 dans l’iléon terminal est un processus dépendant du calcium. Des études ont montré que l’utilisation d’inhibiteurs de la pompe à protons (qui réduisent l’acidité gastrique et peuvent affecter l’absorption du calcium) peut altérer l’absorption de la B12, et que cet effet peut être partiellement atténué par une supplémentation en calcium [39]. Cette interaction est donc plus fonctionnelle que synergique, le calcium facilitant l’absorption active de la B12.

6. Vitamine B12 + zinc : relation complexe dans le métabolisme cellulaire

Le zinc joue un rôle dans la structure de nombreuses protéines et enzymes et peut influencer le métabolisme de la B12. Certaines études suggèrent que le zinc pourrait être impliqué dans la stabilisation de la B12 ou dans les voies métaboliques dépendantes de la B12. Inversement, une supplémentation à très haute dose en zinc sur de longues périodes peut potentiellement interférer avec l’absorption de la B12, bien que cet effet soit considéré comme rare dans des conditions normales [40].

Conclusion

La vitamine B12 joue un rôle essentiel dans le bon fonctionnement du cerveau, la formation des globules rouges et le métabolisme énergétique. Sa carence peut rester silencieuse pendant des années, notamment chez les personnes âgées ou les végans, et se manifester par fatigue, troubles neurologiques ou anémie.

Un dosage sanguin est le meilleur moyen de vérifier ses besoins, et une complémentation adaptée permet de prévenir efficacement les déficits. Penser à la B12, c’est donc prendre soin à la fois de son énergie, de son cerveau et de sa santé globale.

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FAQ : Foire aux Questions

Comment savoir si je manque de vitamine B12 sans test sanguin ?

Une carence débute souvent sans symptôme flagrant, mais certains signes peuvent alerter : fatigue persistante, brouillard mental, fourmillements dans les mains ou les pieds, pâleur, changements d’humeur ou encore troubles digestifs [5]. Ces signaux doivent inciter à vérifier ton taux par une analyse sanguine.

D’où provient la vitamine B12 ?

La vitamine B12, ou cobalamine, est issue d’une synthèse microbienne : elle est produite naturellement par certaines bactéries présentes dans les sols et les eaux non aseptisées [41, 42]. Chez les animaux, le microbiote intestinal peut également en fabriquer, ce qui explique pourquoi on retrouve de la B12 dans la viande, la volaille, le poisson, le lait et les œufs.

👉 Cependant, ces sources animales sont souvent associées à des apports indésirables en acides gras saturés, cholestérol ou hormones. De plus, les traitements thermiques comme la pasteurisation du lait détruisent une partie de la vitamine B12 qu’il contient.

Les aliments enrichis (laits et yaourts végétaux, substituts de viande) et les compléments alimentaires sont aujourd’hui les sources les plus fiables de vitamine B12 : leur teneur est constante, efficace et sans risque d’intoxication alimentaire.

💡 À savoir : la B12 contenue dans les œufs est très peu biodisponible. Cela signifie que le corps l’assimile mal — les œufs ne sont donc pas une source suffisante pour couvrir les besoins quotidiens.

Peut-on avoir une carence en B12 même en mangeant de la viande ?

Oui. Certaines personnes l’absorbent mal à cause d’un manque de facteur intrinsèque (protéine indispensable à l’assimilation de la B12 dans l’estomac), de gastrite, d’âge avancé ou de troubles intestinaux (comme la maladie cœliaque). Les IPP et antiacides peuvent aussi limiter son absorption [33].

Qu’est-ce que la “fausse B12” ou vitamine B12 analogue ?

Certains aliments végétaux, notamment la spiruline, contiennent une forme inactive de la vitamine B12 appelée analogue ou “fausse B12” [43]. Ces analogues imitent la B12 active, mais ne sont pas utilisables par l’organisme. Pire encore, ils peuvent entrer en compétition avec la vraie B12 en saturant les récepteurs cellulaires, ce qui diminue son absorption.

⚠️ Conseil : évitez de consommer simultanément un complément de B12 et des aliments contenant de la fausse B12 (comme la spiruline). Attendez environ 6 heures entre les deux prises afin que les récepteurs se libèrent à nouveau.

La B12 peut-elle interagir avec des médicaments ?

Oui, plusieurs traitements réduisent son assimilation [44, 45] :

  • Metformine (pour le diabète) ;
  • Inhibiteurs de la pompe à protons et antiacides ;
  • Certains traitements gastro-intestinaux.

Une supplémentation régulière peut être nécessaire sous avis médical.

Peut-on corriger une carence rapidement ?

Oui, mais la durée dépend du déficit. Une supplémentation orale ou injectable permet souvent de rétablir des taux normaux en quelques semaines à quelques mois, avec une amélioration progressive de l’énergie et des fonctions nerveuses [46].

Les végétaux peuvent-ils contenir de la vitamine B12 active ?

Bonne question ! 🌱 Certaines recherches indiquent que quelques algues comme la chlorelle (cultivée à la lumière) ou l’algue klamath (AFA) pourraient contenir une forme active de vitamine B12 assimilable par l’humain, surtout lorsqu’elles sont associées à certaines enzymes [47].

Cependant, la teneur en B12 active varie énormément d’un produit à l’autre, et les fabricants indiquent rarement la différence entre B12 active et B12 totale (active + inactive). Résultat : il est impossible de savoir réellement combien de vitamine B12 assimilable contient un comprimé d’algue.

👉 Ces produits ne doivent donc pas être considérés comme des sources fiables pour les végétariens ou végétaliens. Cela dit, les algues demeurent d’excellents compléments nutritionnels grâce à leur richesse en minéraux et en antioxydants.

La lactofermentation permet-elle de produire de la vitamine B12 ?

Des études ont montré que certaines bactéries lactiques peuvent effectivement synthétiser de la vitamine B12 pendant la fermentation [48, 49]. Par exemple, la lactofermentation du jus de feuilles de fenugrec aurait permis la formation de B12, alors que celle du jus de courge amère n’en a pas produit.

Toutefois, plusieurs limites existent :

  • toutes les souches de bactéries lactiques ne produisent pas de B12 ;
  • on ne sait pas si la vitamine synthétisée est active ou analogue ;
  • la quantité produite est inconnue et difficile à mesurer à domicile.

⚠️ En résumé : même si la lactofermentation est excellente pour la flore intestinale, elle ne constitue pas une source fiable de vitamine B12.

Le microbiote humain peut-il fabriquer de la vitamine B12 ?

Oui, certaines bactéries intestinales humaines ont la capacité de produire de la vitamine B12. Mais cette synthèse se déroule trop loin dans le tube digestif, dans une zone où la B12 ne peut plus être absorbée par l’organisme [50]. Autrement dit, même si notre flore intestinale en fabrique, nous ne pouvons pas l’utiliser.

Quelle est la meilleure source de vitamine B12 ?

Les aliments riches en B12 et les compléments alimentaires restent les sources les plus sûres, efficaces et stables de vitamine B12 [1]. Privilégiez :

  • les formes actives (méthylcobalamine, adénosylcobalamine) ;
  • les sprays ou comprimés sublinguaux, qui contournent les problèmes d’absorption digestive ;
  • les aliments enrichis comme certaines boissons végétales certifiées, qui permettent de maintenir un apport quotidien constant.

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Bibliographie

Voir les références scientifiques

  1. NIH, Vitamin B12, Fact Sheet for Health Professionals
  2. O’Leary F, Samman S. Vitamin B12 in health and disease. Nutrients. 2010;2(3):299-316. doi:10.3390/nu2030299
  3. Allen LH. How common is vitamin B-12 deficiency?. Am J Clin Nutr. 2009;89(2):693S-6S. doi:10.3945/ajcn.2008.26947A
  4. Green R. Vitamin B12 deficiency from the perspective of a practicing hematologist. Blood. 2017;129(19):2603-2611.
  5. Lachner C, Steinle N, Regenold WT. The neuropsychiatry of vitamin B12 deficiency in elderly patients. J Neuropsychiatry Clin Neurosci. 2012;24(1):5-15.
  6. Smith AD, Refsum H. Vitamin B12 and cognition in the elderly. Am J Clin Nutr. 2009;89(2):707S-711S.
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  8. Moore E, et al. Cognitive impairment and vitamin B12: a systematic review. Int Psychogeriatr. 2012;24(4):541-556.
  9. Vogiatzoglou A, et al. Vitamin B12 status and rate of brain volume loss in community-dwelling elderly. Neurology. 2008;71(11):826-832.
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Marlène Barthelme

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Fondatrice et responsable éditoriale de Famtastique. Après plusieurs années dans le monde de la santé naturelle, je décide de venir en aide aux familles de façon plus générale ✨